L'affaire remonte à février dernier, lorsque BFMTV a diffusé des images de l'acteur se détendant dans un restaurant et profitant d'une piscine ensoleillée. Cette vidéo, rapidement relayée par de nombreux autres médias, visait à mettre en évidence un contraste saisissant entre les accusations de viol dont Gérard Depardieu fait l'objet et son comportement public, alors que son entourage s'inquiétait pour sa santé. Cependant, le problème est que ces images, présentées comme récentes, dataient en réalité de 2022, comme le relate L'Informé.
Estimant que la diffusion de ces images porte atteinte à sa vie privée, à sa réputation et à son droit à l’image, Gérard Depardieu a déposé plainte contre Altice, la maison mère de BFMTV. Par le biais de son avocate, l’acteur a demandé 500 000 euros de dommages et intérêts ainsi que 15 000 euros pour couvrir les frais de justice. Lors de l’audience devant le tribunal judiciaire de Paris, son avocate a insisté sur le « préjudice considérable » subi par son client. Selon elle, cette diffusion s'inscrit dans un « acharnement médiatique » visant à détruire Gérard Depardieu, en le condamnant avant même qu'il n'ait été jugé.
Estimant que la diffusion de ces images porte atteinte à sa vie privée, à sa réputation et à son droit à l’image, Gérard Depardieu a déposé plainte contre Altice, la maison mère de BFMTV. Par le biais de son avocate, l’acteur a demandé 500 000 euros de dommages et intérêts ainsi que 15 000 euros pour couvrir les frais de justice. Lors de l’audience devant le tribunal judiciaire de Paris, son avocate a insisté sur le « préjudice considérable » subi par son client. Selon elle, cette diffusion s'inscrit dans un « acharnement médiatique » visant à détruire Gérard Depardieu, en le condamnant avant même qu'il n'ait été jugé.
