Kimberly Holland
C’est en 1996 que Karen a décidé de s’offrir une très généreuse poitrine : "Je pensais, avec superficialité, que ça me rendrait plus féminine d’avoir de plus gros seins. C’était une chose stupide à faire." En 2003, les premiers symptômes arrivent : vertiges, hypersensibilité à la lumière et au bruit, évanouissements. Elle a écumé les cabinets médicaux, jusqu’à entendre parler de la "maladie des implants mammaires".
Certaine d’être frappée par cette maladie, et une fois "sûre de prendre la bonne décision", Karen s’est fait retirer ses prothèses le 31 janvier dernier. "J’en étais arrivée au point où je n’avais plus de vie et je pensais littéralement que j’étais en train de mourir. Il était temps de les enlever. Est-ce que je regrette de les avoir retirés ? Non. Est-ce qu’avoir une plus grosse poitrine me manque ? Oui, évidemment. Mais ma santé est tellement plus importante que mes seins".
La maladie des implants
Même scénario pour Kimberly Holland. En 2012, lorsqu’elle fait remplacer ses anciennes prothèses par des nouvelles, sa vie bascule : "C’était la plus grande douleur que je n’avais jamais ressentie de toute ma vie". Un mois après l’opération, elle développe une éruption cutanée sur le dos, des problèmes d’infections dentaires chroniques et souffre de la maladie de Raynaud.
Comme Karen, elle a cherché les causes de ses maux. La réponse a été rapide, tout comme sa décision : "Je voulais juste qu’on me les retire. Je ne voulais plus gâcher mon temps ni ma santé. Il n’y avait aucun intérêt à attendre. J’avais un fils en bas âge, je devais être présente et en bonne santé."
Les deux femmes espèrent par leur témoignage aider les femmes qui souffriraient de la maladie des implants, et contribuer à la médiatisation de ce problème de santé publique.
Certaine d’être frappée par cette maladie, et une fois "sûre de prendre la bonne décision", Karen s’est fait retirer ses prothèses le 31 janvier dernier. "J’en étais arrivée au point où je n’avais plus de vie et je pensais littéralement que j’étais en train de mourir. Il était temps de les enlever. Est-ce que je regrette de les avoir retirés ? Non. Est-ce qu’avoir une plus grosse poitrine me manque ? Oui, évidemment. Mais ma santé est tellement plus importante que mes seins".
La maladie des implants
Même scénario pour Kimberly Holland. En 2012, lorsqu’elle fait remplacer ses anciennes prothèses par des nouvelles, sa vie bascule : "C’était la plus grande douleur que je n’avais jamais ressentie de toute ma vie". Un mois après l’opération, elle développe une éruption cutanée sur le dos, des problèmes d’infections dentaires chroniques et souffre de la maladie de Raynaud.
Comme Karen, elle a cherché les causes de ses maux. La réponse a été rapide, tout comme sa décision : "Je voulais juste qu’on me les retire. Je ne voulais plus gâcher mon temps ni ma santé. Il n’y avait aucun intérêt à attendre. J’avais un fils en bas âge, je devais être présente et en bonne santé."
Les deux femmes espèrent par leur témoignage aider les femmes qui souffriraient de la maladie des implants, et contribuer à la médiatisation de ce problème de santé publique.