Tamponnaise de naissance, Julie Ycard, 19 ans, vit actuellement à Saint-Denis où elle est étudiante, en deuxième année d'animation en expression radiophonique.
Celle qui bientôt sera animatrice radio, depuis 4 ans, se passionne pour la Pole Dance. Un comble pour cette ex introvertie qui auparavant n'aurait jamais osé s'approcher d'une barre.
L'histoire de Julie est celle de beaucoup d'enfants ayant souffert du divorce de leurs parents. Plus jeune, très introvertie, elle confesse avoir eu du mal à se faire des amies. Très lucide, le jeune femme analyse la situation : " Je manquais beaucoup de confiance en moi ,et j’avais très peur de l’abandon. Mes parents se sont séparés lorsque j’avais 9 ans. Je pense que ma peur de l’abandon était liée au fait que mon père n’ait jamais été très présent dans ma vie. Mais avec le temps j’ai fini par l’accepter, et puis j’ai toujours été beaucoup plus proche de ma mère, on est très fusionnelles toutes les deux. ".
Celle qui bientôt sera animatrice radio, depuis 4 ans, se passionne pour la Pole Dance. Un comble pour cette ex introvertie qui auparavant n'aurait jamais osé s'approcher d'une barre.
L'histoire de Julie est celle de beaucoup d'enfants ayant souffert du divorce de leurs parents. Plus jeune, très introvertie, elle confesse avoir eu du mal à se faire des amies. Très lucide, le jeune femme analyse la situation : " Je manquais beaucoup de confiance en moi ,et j’avais très peur de l’abandon. Mes parents se sont séparés lorsque j’avais 9 ans. Je pense que ma peur de l’abandon était liée au fait que mon père n’ait jamais été très présent dans ma vie. Mais avec le temps j’ai fini par l’accepter, et puis j’ai toujours été beaucoup plus proche de ma mère, on est très fusionnelles toutes les deux. ".
Son déclic vers un mieux être va venir grâce à une barre à la réputation, à tort, sulfureuse. Dès ses 14 ans, Julie est impressionnée par la Pole Dance mais n'osait se lancer dans ce sport car, comme elle l'explique, beaucoup de préjugés étaient accolés à cette pratique. Son rêve, par hasard, va devenir réalité alors qu'à 16 ans, elle pratique de la musculation dans une salle de sport dionysienne.
" Si on ne s’accroche pas on tombe "
Elle raconte cette rencontre avec la barre en chrome : " Il y avait une école de Pole Dance dans cette salle. Alors j’ai foncé à un cours d’essai et j’ai tout de suite adoré. Mais j’ai également découvert la face cachée de cette discipline. La Pole Dance se pratique sur une barre en chrome, on doit donc porter un short et une brassière afin que la peau adhère à la barre, sinon ça glisse.
La Pole Dance, ça fait aussi des bleus, et des brûlures. On utilise de la magnésie comme à l’escalade, pour ne pas glisser. En toute honnêteté, ce sport peut être très douloureux parfois, mais c’est grâce à lui que je suis devenue celle que je suis aujourd'hui. On s’efforce de réussir les figures à chaque fois, ce qui apprend à repousser ses limites. Si on ne s’accroche pas on tombe, cela permet de s'accrocher aux épreuves que la vie nous donne. Quand on réussit une figure, on se trouve belle, gracieuse, et cela booste la confiance en soi ".
Afin de convaincre celles et ceux qui hésiteraient encore à tenter la barre de chrome, Julie se veut rassurante : " Et non, pas besoin d’être souple, ou d’avoir de la force dans les bras, ça vient avec le temps et la pratique ".
Pour conclure et défendre son sport, elle précise encore les choses : " Je finirais par ajouter que j’aimerais que les gens soient plus ouverts d’esprit sur ce sport. Il est reconnu par la Fédération Française de Danse, et il n’a rien de vulgaire, c’est juste de la gymnastique verticale ! ".
" Si on ne s’accroche pas on tombe "
Elle raconte cette rencontre avec la barre en chrome : " Il y avait une école de Pole Dance dans cette salle. Alors j’ai foncé à un cours d’essai et j’ai tout de suite adoré. Mais j’ai également découvert la face cachée de cette discipline. La Pole Dance se pratique sur une barre en chrome, on doit donc porter un short et une brassière afin que la peau adhère à la barre, sinon ça glisse.
La Pole Dance, ça fait aussi des bleus, et des brûlures. On utilise de la magnésie comme à l’escalade, pour ne pas glisser. En toute honnêteté, ce sport peut être très douloureux parfois, mais c’est grâce à lui que je suis devenue celle que je suis aujourd'hui. On s’efforce de réussir les figures à chaque fois, ce qui apprend à repousser ses limites. Si on ne s’accroche pas on tombe, cela permet de s'accrocher aux épreuves que la vie nous donne. Quand on réussit une figure, on se trouve belle, gracieuse, et cela booste la confiance en soi ".
Afin de convaincre celles et ceux qui hésiteraient encore à tenter la barre de chrome, Julie se veut rassurante : " Et non, pas besoin d’être souple, ou d’avoir de la force dans les bras, ça vient avec le temps et la pratique ".
Pour conclure et défendre son sport, elle précise encore les choses : " Je finirais par ajouter que j’aimerais que les gens soient plus ouverts d’esprit sur ce sport. Il est reconnu par la Fédération Française de Danse, et il n’a rien de vulgaire, c’est juste de la gymnastique verticale ! ".