Koba LaD, de son vrai nom Marcel Junior Loutarila, figure parmi les individus placés en garde à vue après une vague d'arrestations en France et en Allemagne. L'artiste, qui purgeait déjà une peine de prison pour des faits de violence sur son ancien manager, est entendu par les enquêteurs pour déterminer son éventuelle implication dans l'affaire Amra.
Le rappeur de l’Essonne avait déjà croisé la route de Mohamed Amra en 2023, lorsqu'il était incarcéré à la prison de la Santé. Selon BFMTV , ils auraient partagé une cellule, ce qui pourrait expliquer les soupçons de liens entre eux.
Outre cette rencontre en détention, plusieurs proches de Koba LaD ont également été arrêtés dans le cadre de cette enquête. Certains d'entre eux avaient déjà été jugés aux côtés du rappeur en 2024 pour des affaires de violence, notamment en boîte de nuit.
D’après les sources policières citées par BFMTV, ces individus appartiendraient à l’organisation criminelle Black Manjak Family (BMF), soupçonnée d'avoir orchestré l’évasion spectaculaire et meurtrière de Mohamed Amra. Des membres de cette organisation auraient également aidé le narcotrafiquant à poursuivre ses activités durant sa cavale.
Un autre élément intrigue les enquêteurs : le label musical du rappeur, nommé "BMF Agency" (Black Manjak Family Agency). Bien que cela puisse être une coïncidence, cette appellation soulève des questions sur d'éventuels liens entre l’artiste et le groupe criminel.
Interrogé ces dernières semaines par BFMTV, l’un des avocats de Koba LaD a fermement nié toute implication de son client dans cette affaire. Cependant, depuis son placement en garde à vue, aucun commentaire supplémentaire n’a été fait par son équipe juridique.
Le rappeur de l’Essonne avait déjà croisé la route de Mohamed Amra en 2023, lorsqu'il était incarcéré à la prison de la Santé. Selon BFMTV , ils auraient partagé une cellule, ce qui pourrait expliquer les soupçons de liens entre eux.
Outre cette rencontre en détention, plusieurs proches de Koba LaD ont également été arrêtés dans le cadre de cette enquête. Certains d'entre eux avaient déjà été jugés aux côtés du rappeur en 2024 pour des affaires de violence, notamment en boîte de nuit.
D’après les sources policières citées par BFMTV, ces individus appartiendraient à l’organisation criminelle Black Manjak Family (BMF), soupçonnée d'avoir orchestré l’évasion spectaculaire et meurtrière de Mohamed Amra. Des membres de cette organisation auraient également aidé le narcotrafiquant à poursuivre ses activités durant sa cavale.
Un autre élément intrigue les enquêteurs : le label musical du rappeur, nommé "BMF Agency" (Black Manjak Family Agency). Bien que cela puisse être une coïncidence, cette appellation soulève des questions sur d'éventuels liens entre l’artiste et le groupe criminel.
Interrogé ces dernières semaines par BFMTV, l’un des avocats de Koba LaD a fermement nié toute implication de son client dans cette affaire. Cependant, depuis son placement en garde à vue, aucun commentaire supplémentaire n’a été fait par son équipe juridique.