Elle a commencé à boire dès l'âge de 13 ans, avec sa mère.
Dans " The Woman in Me", ( ndlr: " La femme en moi " en version française), la chanteuse décrit dès les premières pages de son livre la peur qu'elle ressentait chez elle, en grande partie à cause de son père, Jamie Spears, qui a dirigé sa vie personnelle et professionnelle de manière oppressive pendant treize ans. Jamie Spears est décrit comme alcoolique et violent, et au fil des années, il n'a cessé de la rabaisser. Dans ce contexte, Britney raconte qu'elle a commencé à boire dès l'âge de 13 ans, avec sa mère.
Dans ses mémoires, Britney remonte le fil de sa famille pour tenter de comprendre l'origine de cette violence. Elle évoque le cas de sa grand-mère paternelle, Jean, qui a été internée par son grand-père et a fini par se suicider à l'âge de 31 ans sur la tombe de son nourrisson.
Un autre point sensible dans la vie de Britney est sa lutte pour échapper à l'image de la jeune fille de 17 ans qu'elle était lors de la sortie de son tube "Baby One More Time". Elle révèle également avoir souffert du "syndrome Benjamin Button", une référence au film du même nom avec Brad Pitt, qui raconte l'histoire d'un homme qui naît vieux et rajeunit avec le temps. Britney explique avoir vécu cette sensation à plusieurs moments de sa vie, notamment lors de sa rupture avec Justin Timberlake, où elle s'est cloîtrée chez elle, ressemblant à une enfant, et lors de la naissance de ses enfants, où elle se sentait "redevenir un bébé". La tutelle qu'elle a subie l'a également infantilisée au point de ne plus savoir comment être une "femme adulte".
L'un des moments clés de l'autobiographie concerne sa relation passée avec Justin Timberlake. Elle révèle avoir été "dévastée" lorsque Justin Timberlake l'a quittée par SMS. Lorsque Timberlake a utilisé leur rupture dans son clip "Cry Me a River" en choisissant une actrice qui ressemblait à Britney, elle a gardé le silence, même lorsque les médias l'ont accusée d'avoir trompé son partenaire. Bien qu'elle reconnaisse avoir trompé le chanteur une seule fois, elle estime que cela était courant chez lui. Son père l'a contraint à donner une interview à la journaliste américaine Diane Sawyer, où elle a été interrogée sur la douleur qu'elle avait infligée à Timberlake. Elle a ressenti cette situation comme une exploitation et s'est sentie piégée devant le monde entier.
Un autre aspect abordé dans le livre est la tutelle dont Britney a fait l'objet pendant treize ans. Son père lui a dit : "Britney Spears, c'est moi" quand elle a essayé de remettre en cause cette tutelle. Elle se demande pourquoi on la considérait capable de se produire en public alors qu'elle n'était pas en mesure de prendre des décisions. Elle révèle qu'elle a été contrainte de suivre un régime alimentaire strict, se nourrissant principalement de poulet et de légumes en conserve, et qu'elle suppliait même pour un hamburger ou une glace.
Britney Spears évoque également son internement en 2019, où elle était sous antidépresseurs et lithium, se sentant "à moitié morte" et croyant que quelqu'un voulait la tuer. Malgré ces épreuves, elle souligne la force intérieure qui lui a permis de persévérer et de se rebeller.
Dans ses mémoires, Britney remonte le fil de sa famille pour tenter de comprendre l'origine de cette violence. Elle évoque le cas de sa grand-mère paternelle, Jean, qui a été internée par son grand-père et a fini par se suicider à l'âge de 31 ans sur la tombe de son nourrisson.
Un autre point sensible dans la vie de Britney est sa lutte pour échapper à l'image de la jeune fille de 17 ans qu'elle était lors de la sortie de son tube "Baby One More Time". Elle révèle également avoir souffert du "syndrome Benjamin Button", une référence au film du même nom avec Brad Pitt, qui raconte l'histoire d'un homme qui naît vieux et rajeunit avec le temps. Britney explique avoir vécu cette sensation à plusieurs moments de sa vie, notamment lors de sa rupture avec Justin Timberlake, où elle s'est cloîtrée chez elle, ressemblant à une enfant, et lors de la naissance de ses enfants, où elle se sentait "redevenir un bébé". La tutelle qu'elle a subie l'a également infantilisée au point de ne plus savoir comment être une "femme adulte".
L'un des moments clés de l'autobiographie concerne sa relation passée avec Justin Timberlake. Elle révèle avoir été "dévastée" lorsque Justin Timberlake l'a quittée par SMS. Lorsque Timberlake a utilisé leur rupture dans son clip "Cry Me a River" en choisissant une actrice qui ressemblait à Britney, elle a gardé le silence, même lorsque les médias l'ont accusée d'avoir trompé son partenaire. Bien qu'elle reconnaisse avoir trompé le chanteur une seule fois, elle estime que cela était courant chez lui. Son père l'a contraint à donner une interview à la journaliste américaine Diane Sawyer, où elle a été interrogée sur la douleur qu'elle avait infligée à Timberlake. Elle a ressenti cette situation comme une exploitation et s'est sentie piégée devant le monde entier.
Un autre aspect abordé dans le livre est la tutelle dont Britney a fait l'objet pendant treize ans. Son père lui a dit : "Britney Spears, c'est moi" quand elle a essayé de remettre en cause cette tutelle. Elle se demande pourquoi on la considérait capable de se produire en public alors qu'elle n'était pas en mesure de prendre des décisions. Elle révèle qu'elle a été contrainte de suivre un régime alimentaire strict, se nourrissant principalement de poulet et de légumes en conserve, et qu'elle suppliait même pour un hamburger ou une glace.
Britney Spears évoque également son internement en 2019, où elle était sous antidépresseurs et lithium, se sentant "à moitié morte" et croyant que quelqu'un voulait la tuer. Malgré ces épreuves, elle souligne la force intérieure qui lui a permis de persévérer et de se rebeller.