Réputée pour ses exploits, Sylvaine Cussot n'en est pas à sa première aventure. Originaire de La Réunion, elle a toujours cultivé un amour pour le dépassement de soi, que ce soit sur l’île lors de la mythique Diagonale des Fous, où elle a terminé 6e féminine en 2024, ou sur les grandes courses internationales. En 2022, elle avait déjà marqué les esprits en terminant seconde féminine du MDS The Legendary, une expérience inoubliable pour elle : "C’était éprouvant pour l’organisme, le manque de sommeil, mais le défi en valait la peine. C’était une occasion unique de se déconnecter du monde, de se retrouver face à soi-même et de partager des moments forts avec les autres coureurs."
Malgré la proximité temporelle avec la Diagonale des Fous, Sylvaine n’a pas hésité à s’élancer dans cette aventure en Jordanie, avec pour objectif de renouer avec l’esprit de camaraderie et d’exploration qu’elle avait tant apprécié lors de son premier MDS. "L’enchaînement Diagonale - MDS était osé, mais je souhaitais revivre cet état d’esprit, ce partage sur le bivouac," explique-t-elle. Pour elle, l’expérience MDS, c’est avant tout une parenthèse hors du temps, où les paysages et l’ambiance du désert deviennent le cadre de rencontres humaines profondes.
Cette fois-ci, Sylvaine s’est lancée dans le MDS Jordanie avec un état d’esprit différent, davantage orienté vers l’aventure et la découverte. "Je ne connaissais pas du tout la Jordanie. Ce désert est très différent de celui du Maroc, et le découvrir de cette manière a été incroyable," raconte-t-elle. Sur le plan sportif, elle a cependant montré sa maîtrise en réalisant les 120 km en 13h41'47", devançant Marine Canas de plus d’une heure. Pourtant, elle ne visait pas la performance : "J’ai fait ma course sans penser au classement. L’important, c’était tout ce qui se passait autour : le partage avec les autres coureurs, la qualité de l’organisation, la bienveillance des bénévoles."
Malgré la proximité temporelle avec la Diagonale des Fous, Sylvaine n’a pas hésité à s’élancer dans cette aventure en Jordanie, avec pour objectif de renouer avec l’esprit de camaraderie et d’exploration qu’elle avait tant apprécié lors de son premier MDS. "L’enchaînement Diagonale - MDS était osé, mais je souhaitais revivre cet état d’esprit, ce partage sur le bivouac," explique-t-elle. Pour elle, l’expérience MDS, c’est avant tout une parenthèse hors du temps, où les paysages et l’ambiance du désert deviennent le cadre de rencontres humaines profondes.
Cette fois-ci, Sylvaine s’est lancée dans le MDS Jordanie avec un état d’esprit différent, davantage orienté vers l’aventure et la découverte. "Je ne connaissais pas du tout la Jordanie. Ce désert est très différent de celui du Maroc, et le découvrir de cette manière a été incroyable," raconte-t-elle. Sur le plan sportif, elle a cependant montré sa maîtrise en réalisant les 120 km en 13h41'47", devançant Marine Canas de plus d’une heure. Pourtant, elle ne visait pas la performance : "J’ai fait ma course sans penser au classement. L’important, c’était tout ce qui se passait autour : le partage avec les autres coureurs, la qualité de l’organisation, la bienveillance des bénévoles."