Geneviève de Fontenay en perdrait son latin... Longtemps ancrée dans des traditions rigoureuses, l’organisation de Miss France a entamé une transformation en 2022. Les règles, autrefois strictes, ont été ajustées pour refléter une société en évolution. Parmi les assouplissements les plus marquants : l’autorisation des tatouages et des chirurgies réparatrices.
Invitée sur le plateau de BFM2, Angélique Angarni-Filopon est revenue sur ses tatouages, visibles sur son bras gauche, qu’elle considère comme des symboles de moments précieux. Loin de susciter la controverse, ces motifs reflètent sa personnalité et son histoire.
Le premier, un signe de l’infini gravé sur son poignet, est empreint de souvenirs familiaux. « Je l’ai fait à 20 ans, en voyage à Miami avec ma sœur. C’était notre petit pacte, une manière de graver notre lien pour toujours ».
Le second tatouage, niché dans le creux de son coude, est une expression en créole : "En béni." « Cela signifie ‘je suis bénie’. C’est une référence à une chanson de Meryl, une artiste Martiniquaise que j’admire ».
Invitée sur le plateau de BFM2, Angélique Angarni-Filopon est revenue sur ses tatouages, visibles sur son bras gauche, qu’elle considère comme des symboles de moments précieux. Loin de susciter la controverse, ces motifs reflètent sa personnalité et son histoire.
Le premier, un signe de l’infini gravé sur son poignet, est empreint de souvenirs familiaux. « Je l’ai fait à 20 ans, en voyage à Miami avec ma sœur. C’était notre petit pacte, une manière de graver notre lien pour toujours ».
Le second tatouage, niché dans le creux de son coude, est une expression en créole : "En béni." « Cela signifie ‘je suis bénie’. C’est une référence à une chanson de Meryl, une artiste Martiniquaise que j’admire ».