C’est à l’Hôtel Alamanda (Groupe Exsel) de Saint-Gilles-les-Bains, là où tout a commencé, que Michel Bussi, par ailleurs professeur de géographie à l’Université de Rouen, séjourne. Un retour sur “les lieux du crime” (voir ci-dessous). La Réunion, une île qu’il a découverte en 2000 en touriste, et où il est revenu plusieurs fois depuis.
C’est en 2007 qu’il a écrit “Ne lâche pas ma main” (Editions Presses de la Cité) après un séjour sous nos cieux: “J’ai écrit ce livre quand je suis rentré chez moi en Normandie. C’était l’hiver, je voulais faire voyager les gens, et que l’histoire se déroule à La Réunion était une évidence pour moi” dit-il.
Un livre qui contribue à la promotion de notre île au travers des paysages et des lieux décrits. En octobre dernier, il a été nommé ambassadeur de l’IRT (Ile de la Réunion Tourisme): “On m’a souvent qualifié d’ambassadeur de la Normandie. Je suis donc très fier d’être devenu aussi, à mon petit niveau, un ambassadeur de La Réunion” dit-il
Michel Bussi se disait impatient de pouvoir rencontrer des lecteurs réunionnais, c’est chose faite depuis samedi où il a dédicacé ses livres à l’Alamanda, et une autre séance de dédicaces est prévue ce lundi 29 décembre, de 17h à 19h au magasin Agora du Centre Commercial Jumbo Duparc.
Michel Bussi va aussi profiter de son séjour pour prendre des contacts sur le projet de film qui sera inspiré du roman qui s’est vendu à 350 000 exemplaires à ce jour: “Une société de production était intéressée, TF1 également, Patrick Bruel aurait pu jouer le premier rôle, mais le projet, qui dénaturait le roman, n’a pas abouti” explique Michel Bussi.
Une rencontre avec Eddy Payet, chargé de la production audiovisuelle à la Région, est programmée cette semaine. On sait que le slogan “Réunion terre de tournages” est cher à la Région, il est donc fort probable que le projet de film inspiré de “Ne lâche pas ma main” puisse se concrétiser…
Aziz Patel
C’est en 2007 qu’il a écrit “Ne lâche pas ma main” (Editions Presses de la Cité) après un séjour sous nos cieux: “J’ai écrit ce livre quand je suis rentré chez moi en Normandie. C’était l’hiver, je voulais faire voyager les gens, et que l’histoire se déroule à La Réunion était une évidence pour moi” dit-il.
Un livre qui contribue à la promotion de notre île au travers des paysages et des lieux décrits. En octobre dernier, il a été nommé ambassadeur de l’IRT (Ile de la Réunion Tourisme): “On m’a souvent qualifié d’ambassadeur de la Normandie. Je suis donc très fier d’être devenu aussi, à mon petit niveau, un ambassadeur de La Réunion” dit-il
Michel Bussi se disait impatient de pouvoir rencontrer des lecteurs réunionnais, c’est chose faite depuis samedi où il a dédicacé ses livres à l’Alamanda, et une autre séance de dédicaces est prévue ce lundi 29 décembre, de 17h à 19h au magasin Agora du Centre Commercial Jumbo Duparc.
Michel Bussi va aussi profiter de son séjour pour prendre des contacts sur le projet de film qui sera inspiré du roman qui s’est vendu à 350 000 exemplaires à ce jour: “Une société de production était intéressée, TF1 également, Patrick Bruel aurait pu jouer le premier rôle, mais le projet, qui dénaturait le roman, n’a pas abouti” explique Michel Bussi.
Une rencontre avec Eddy Payet, chargé de la production audiovisuelle à la Région, est programmée cette semaine. On sait que le slogan “Réunion terre de tournages” est cher à la Région, il est donc fort probable que le projet de film inspiré de “Ne lâche pas ma main” puisse se concrétiser…
Aziz Patel
Avec Ingrid Averianoff, directrice de l’Hôtel Alamanda depuis quatre mois, et Fabrice Manson, directeur commercial du Groupe Exsel
“Ne lâche pas ma main”, le pitch
Sous le soleil de notre île, un couple amoureux et leur petite fille, en vacances. La femme disparaît de l’Hôtel Alamanda. Martial Bellion, son mari, de témoin devient le suspect n°1. D’autant qu’il s’enfuit en compagnie de leur fille de 6 ans. Toutes les forces de la gendarmerie sont réquisitionnées et cernent l’île pour les traquer.
Et si cette course-poursuite -où chaque minute perdue peut être fatale- à travers le fabuleux décor de La Réunion, au coeur de la population la plus métissée de la planète, dissimulait la plus redoutable des manipulations? Un polar qui cogne comme un verre de punch…
Et si cette course-poursuite -où chaque minute perdue peut être fatale- à travers le fabuleux décor de La Réunion, au coeur de la population la plus métissée de la planète, dissimulait la plus redoutable des manipulations? Un polar qui cogne comme un verre de punch…
Biographie
Dans l’univers du polar, Michel Bussi occupe une place à part. Ses romans, sans tueurs en série ni surenchère macabre, parviennent à faire la synthèse entre le meilleur de l’atmosphère de la littérature policière française (Georges Simenon) et le rythme des thrillers américains (Harlan Coben).
Professeur de géographie à l’Université de Rouen, Michel Bussi, 50 ans en avril, a commencé à publier tardivement. En 1990, son pemier roman est refusé par les maisons d’édition. Ce n’est qu’en 2006 qu’il publie enfin son premier roman “Code Lupin”.
Puis il y a eu “Omaha Crimes” (Prix Sang d’encre 2007), ”Mourir sur Seine”, “Nymphéas noirs” (Prix Polar Michel- Lebrun 2011, Grand Prix Gustave Flaubert, Prix Polar des lecteurs Villeneuve-lez-Avignon et Prix Polar des médiathèques de Cognac) et “Un avion sans elle” (Prix 2012 Maison de la Presse). C’est ce dernier livre qui a permis à Michel Bussi de décoller (sans jeu de mots), vendu à 400 000 exemplaires, traduit dans 26 pays: “C’est en effet mon best-seller à ce jour” dit-il.
En 2013 est donc sorti “Ne lâche pas ma main”, en 2014 “N’oublier jamais”, et son neuvième roman sortira en mai 2015.
Professeur de géographie à l’Université de Rouen, Michel Bussi, 50 ans en avril, a commencé à publier tardivement. En 1990, son pemier roman est refusé par les maisons d’édition. Ce n’est qu’en 2006 qu’il publie enfin son premier roman “Code Lupin”.
Puis il y a eu “Omaha Crimes” (Prix Sang d’encre 2007), ”Mourir sur Seine”, “Nymphéas noirs” (Prix Polar Michel- Lebrun 2011, Grand Prix Gustave Flaubert, Prix Polar des lecteurs Villeneuve-lez-Avignon et Prix Polar des médiathèques de Cognac) et “Un avion sans elle” (Prix 2012 Maison de la Presse). C’est ce dernier livre qui a permis à Michel Bussi de décoller (sans jeu de mots), vendu à 400 000 exemplaires, traduit dans 26 pays: “C’est en effet mon best-seller à ce jour” dit-il.
En 2013 est donc sorti “Ne lâche pas ma main”, en 2014 “N’oublier jamais”, et son neuvième roman sortira en mai 2015.