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Les accusations concernent des actes de violences physiques et psychologiques exercés sur deux anciennes compagnes entre août 2018 et septembre 2022, comme le rappelle bfmtv. Parmi les faits reprochés, il est mentionné qu’une des victimes aurait eu un doigt cassé et que l’animateur aurait instauré un « climat de terreur » au sein de leurs relations.
« Il est crucial de rappeler qui est la victime et qui est l’agresseur », a souligné la procureure lors de ses réquisitions. « On ne peut tolérer que le couple devienne une zone de non-droit. Monsieur Plaza a choisi d’imposer sa volonté par la violence ».
À la barre, Stéphane Plaza a nié les accusations en bloc, affirmant qu’« il n’y a pas eu de violences ». Il a également évoqué l’impact de cette affaire sur sa santé mentale et sa carrière, allant jusqu’à décrire des pensées suicidaires.
« Depuis la divulgation de cette affaire, je ressens une douleur constante à la poitrine », a-t-il confié. Il a relaté un épisode en décembre 2023, où il s’était approché de la rambarde de sa terrasse au sixième étage, prêt à mettre fin à ses jours. « Ce qui m’a retenu, c’est de penser que si je sautais, on croirait que je suis coupable », a-t-il expliqué avec émotion.
Lors du procès, la défense a cherché à discréditer les plaignantes en les présentant comme des menteuses. Toutefois, cette stratégie a été mise à mal par plusieurs éléments : la concordance des témoignages de deux femmes, l’ajout d’un troisième témoignage au dossier, ainsi que des déclarations d’autres témoins à charge. La sentence sera prononcée le mardi 18 février.
« Il est crucial de rappeler qui est la victime et qui est l’agresseur », a souligné la procureure lors de ses réquisitions. « On ne peut tolérer que le couple devienne une zone de non-droit. Monsieur Plaza a choisi d’imposer sa volonté par la violence ».
À la barre, Stéphane Plaza a nié les accusations en bloc, affirmant qu’« il n’y a pas eu de violences ». Il a également évoqué l’impact de cette affaire sur sa santé mentale et sa carrière, allant jusqu’à décrire des pensées suicidaires.
« Depuis la divulgation de cette affaire, je ressens une douleur constante à la poitrine », a-t-il confié. Il a relaté un épisode en décembre 2023, où il s’était approché de la rambarde de sa terrasse au sixième étage, prêt à mettre fin à ses jours. « Ce qui m’a retenu, c’est de penser que si je sautais, on croirait que je suis coupable », a-t-il expliqué avec émotion.
Lors du procès, la défense a cherché à discréditer les plaignantes en les présentant comme des menteuses. Toutefois, cette stratégie a été mise à mal par plusieurs éléments : la concordance des témoignages de deux femmes, l’ajout d’un troisième témoignage au dossier, ainsi que des déclarations d’autres témoins à charge. La sentence sera prononcée le mardi 18 février.
