Comme rapporté par l'Express, les prélèvements réalisés sous les ponts Alexandre-III et de l’Alma montrent que sur 14 tests, 13 indiquent des niveaux de bactéries Escherichia coli et d’entérocoques bien au-delà des limites fixées par la directive européenne de 2006, qui régule la qualité des eaux de baignade. Par exemple, une mesure sous le pont de l’Alma en février a enregistré jusqu'à 7 250 unités formant colonie par 100 millilitres pour E. coli, où la limite est normalement de 1 000 ufc/100 ml.
Ces découvertes interviennent malgré les efforts de la mairie de Paris et des organismes associés pour améliorer la salubrité de la Seine, efforts qui jusqu'à présent ne semblent pas avoir atteint les objectifs nécessaires pour garantir un environnement sain pour les épreuves olympiques.
En effet, des tests antérieurs entre juin et septembre 2023 n'ont montré aucun des 14 points de prélèvement parisiens atteindre un niveau de qualité conforme aux standards européens.
Face à ces résultats alarmants, Surfrider Foundation Europe exprime de sérieuses préoccupations pour la santé des athlètes qui seront en compétition dans ces eaux, mais aussi pour les résidents locaux qui fréquentent ces zones au quotidien.
L'association a publié une lettre ouverte demandant un accès continu aux sites pour leurs propres analyses indépendantes, avant et pendant les Jeux, afin d'assurer un suivi rigoureux de la qualité de l'eau.
La situation est d'autant plus critique que les épreuves de triathlon et de natation en eau libre, prévues pour fin juillet et début août, pourraient être directement affectées par des intempéries. En effet, de fortes pluies pourraient aggraver la situation en déversant des eaux usées supplémentaires dans la Seine, risquant de compromettre davantage la qualité de l'eau.
Ces découvertes interviennent malgré les efforts de la mairie de Paris et des organismes associés pour améliorer la salubrité de la Seine, efforts qui jusqu'à présent ne semblent pas avoir atteint les objectifs nécessaires pour garantir un environnement sain pour les épreuves olympiques.
En effet, des tests antérieurs entre juin et septembre 2023 n'ont montré aucun des 14 points de prélèvement parisiens atteindre un niveau de qualité conforme aux standards européens.
Face à ces résultats alarmants, Surfrider Foundation Europe exprime de sérieuses préoccupations pour la santé des athlètes qui seront en compétition dans ces eaux, mais aussi pour les résidents locaux qui fréquentent ces zones au quotidien.
L'association a publié une lettre ouverte demandant un accès continu aux sites pour leurs propres analyses indépendantes, avant et pendant les Jeux, afin d'assurer un suivi rigoureux de la qualité de l'eau.
La situation est d'autant plus critique que les épreuves de triathlon et de natation en eau libre, prévues pour fin juillet et début août, pourraient être directement affectées par des intempéries. En effet, de fortes pluies pourraient aggraver la situation en déversant des eaux usées supplémentaires dans la Seine, risquant de compromettre davantage la qualité de l'eau.