Née en France, Sabah Aib a des origines algériennes et marocaines, un héritage qu’elle revendique fièrement. Sur les réseaux sociaux, la jeune femme est attaquée notamment sur la consonance de son nom.
En réponse aux attaques, Sabah Aib s’est exprimée sur Instagram pour rappeler son attachement à son identité. « Je suis née en France », a-t-elle déclaré. « Mon nom fait partie de mon identité et il n’a rien à voir avec ma nationalité. La France est un pays multiculturel, et avoir un nom qui vient d’ailleurs ne change en rien le fait que je sois française. Mes origines font partie de mon histoire, mais elles ne définissent pas qui je suis. Mon élection est une preuve que notre région est riche de diversité et de valeurs, et je suis fière de la représenter » .
Face à ces déferlements de haine, le secrétaire d’État en charge de la citoyenneté et de la lutte contre les discriminations, Othman Nasrou, a pris position. Sur le réseau social X, il a annoncé avoir demandé à la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH) de saisir le procureur en raison des propos racistes visant la jeune miss. « Nous serons intraitables face au racisme et au cyberharcèlement. Nous ne laisserons rien passer », a-t-il affirmé, réitérant l’engagement du gouvernement à réagir avec fermeté.
L'association SOS Racisme a également saisi la justice, exigeant des sanctions exemplaires contre les auteurs de ces attaques. « Les propos racistes, qui ont de graves répercussions sur les individus ciblés, doivent être sévèrement punis », ont-ils déclaré dans un communiqué .
En réponse aux attaques, Sabah Aib s’est exprimée sur Instagram pour rappeler son attachement à son identité. « Je suis née en France », a-t-elle déclaré. « Mon nom fait partie de mon identité et il n’a rien à voir avec ma nationalité. La France est un pays multiculturel, et avoir un nom qui vient d’ailleurs ne change en rien le fait que je sois française. Mes origines font partie de mon histoire, mais elles ne définissent pas qui je suis. Mon élection est une preuve que notre région est riche de diversité et de valeurs, et je suis fière de la représenter » .
Face à ces déferlements de haine, le secrétaire d’État en charge de la citoyenneté et de la lutte contre les discriminations, Othman Nasrou, a pris position. Sur le réseau social X, il a annoncé avoir demandé à la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH) de saisir le procureur en raison des propos racistes visant la jeune miss. « Nous serons intraitables face au racisme et au cyberharcèlement. Nous ne laisserons rien passer », a-t-il affirmé, réitérant l’engagement du gouvernement à réagir avec fermeté.
L'association SOS Racisme a également saisi la justice, exigeant des sanctions exemplaires contre les auteurs de ces attaques. « Les propos racistes, qui ont de graves répercussions sur les individus ciblés, doivent être sévèrement punis », ont-ils déclaré dans un communiqué .