Une fois dans ma boutique préférée, je flashe sur trois modèles. Par chance, les trois sont disponibles dans ma taille. Sans prendre le temps de regarder le reste du magasin, je file, direction la cabine d’essayage.
Je passe la première robe et me contemple un instant dans la glace. Pas très convaincue, je décide d’appeler mon homme pour qu’il me donne son avis. Il me regarde de haut en bas, à plusieurs reprises. « Tourne-toi », m’ordonne-t-il, pour regarder mes fesses (euh, le rendu de la robe de dos). « Mmmhh, pas mal. Mais peut-être un peu triste, pour un mariage. Essaie la bleue ».
D’accord avec lui, je m’exécute, et l’appelle de nouveau. Je fais un tour sur moi-même afin qu’il m’examine sous tous les angles. « Ouah. T’es trop belle C’est hyper moulant dis-donc ! », me lance-t-il en me dévorant des yeux, avant de caresser avec insistance ma cuisse droite pour, je cite, « toucher la matière du tissu ». Peu à l’aise dans ce modèle que je trouve un peu trop sexy pour l’occasion, j’entre dans la cabine pour essayer la troisième. Une robe fluide, d’un rouge intense, cintrée, avec une grande fermeture dorée dans le dos. « Viens m’aider », je lui demande, ne parvenant pas à la fermer toute seule.
Il débarque dans la cabine avec un air particulièrement déterminé. L’air de celui qui a une idée en tête et qui s’apprête à mettre son plan à exécution. Après avoir bien refermé le rideau, il se place derrière moi. Mais au lieu de remonter la fermeture, il la fait glisser jusqu’en bas et écarte les brettelles. La robe tombe sur le sol. Il se colle à moi, plonge sa bouche dans mon cou et commence à me caresser, de façon très entreprenante. « T’es fou, y’a plein de monde, on peut nous surprendre », je chuchote, surprise par son initiative. Mais le danger d’être pris en flagrant délit fait grimper mon désir en flèche. En moins d’une minute, j’atteins le septième ciel.
Une fois cette petite folie terminée, il ressort, l’air de rien, avant de me lancer. « Prends cette robe-là. Elle est bien celle-là. Le seul problème c’est que tu risques de voler la vedette à la mariée ».
Je passe la première robe et me contemple un instant dans la glace. Pas très convaincue, je décide d’appeler mon homme pour qu’il me donne son avis. Il me regarde de haut en bas, à plusieurs reprises. « Tourne-toi », m’ordonne-t-il, pour regarder mes fesses (euh, le rendu de la robe de dos). « Mmmhh, pas mal. Mais peut-être un peu triste, pour un mariage. Essaie la bleue ».
D’accord avec lui, je m’exécute, et l’appelle de nouveau. Je fais un tour sur moi-même afin qu’il m’examine sous tous les angles. « Ouah. T’es trop belle C’est hyper moulant dis-donc ! », me lance-t-il en me dévorant des yeux, avant de caresser avec insistance ma cuisse droite pour, je cite, « toucher la matière du tissu ». Peu à l’aise dans ce modèle que je trouve un peu trop sexy pour l’occasion, j’entre dans la cabine pour essayer la troisième. Une robe fluide, d’un rouge intense, cintrée, avec une grande fermeture dorée dans le dos. « Viens m’aider », je lui demande, ne parvenant pas à la fermer toute seule.
Il débarque dans la cabine avec un air particulièrement déterminé. L’air de celui qui a une idée en tête et qui s’apprête à mettre son plan à exécution. Après avoir bien refermé le rideau, il se place derrière moi. Mais au lieu de remonter la fermeture, il la fait glisser jusqu’en bas et écarte les brettelles. La robe tombe sur le sol. Il se colle à moi, plonge sa bouche dans mon cou et commence à me caresser, de façon très entreprenante. « T’es fou, y’a plein de monde, on peut nous surprendre », je chuchote, surprise par son initiative. Mais le danger d’être pris en flagrant délit fait grimper mon désir en flèche. En moins d’une minute, j’atteins le septième ciel.
Une fois cette petite folie terminée, il ressort, l’air de rien, avant de me lancer. « Prends cette robe-là. Elle est bien celle-là. Le seul problème c’est que tu risques de voler la vedette à la mariée ».