Pour Zahia, cet événement a marqué le début d'une période sombre, tant sur le plan personnel que professionnel. « J'avais l'impression que ma vie s'effondrait » confiait-elle récemment sur le plateau de C l’hebdo. Âgée de seulement 18 ans à l'époque des faits, elle se souvient avoir dû affronter les préjugés et la stigmatisation sociale. «J'allais devoir commencer ma vie avec l'étiquette la plus dégradante qu'une femme puisse porter.»
Son combat contre la stigmatisation
Zahia souligne l'impact dévastateur du "slut-shaming" et de la "putophobie" dans notre société. Selon elle, ces préjugés, qui persistent encore aujourd'hui, sont des obstacles majeurs pour les femmes ayant vécu des expériences similaires. « Les femmes sont souvent enfermées dans des cases, et celles qui se retrouvent dans la catégorie des "mauvaises femmes" doivent en payer un prix énorme » explique-t-elle avec amertume. Elle se rappelle à quel point cette situation avait affecté son état mental et sa vision de l'avenir. « J'étais à un point où je pensais que ma vie était terminée. Je me suis dit : "Soit tu mets fin à tout, soit tu choisis de te battre, de te relever et de montrer tes créations." Et j'ai décidé de continuer, malgré les difficultés. »
Malgré le passé tumultueux, Zahia Dehar a su rebondir. Plus récemment, elle a lancé une entreprise de chocolats baptisée Croquez-moi, des créations en forme de diverses parties de son corps. Ce projet audacieux et personnel représente, selon elle, une forme de "libération" après une relation toxique qui l'avait empêchée de s'exprimer pleinement.
Son combat contre la stigmatisation
Zahia souligne l'impact dévastateur du "slut-shaming" et de la "putophobie" dans notre société. Selon elle, ces préjugés, qui persistent encore aujourd'hui, sont des obstacles majeurs pour les femmes ayant vécu des expériences similaires. « Les femmes sont souvent enfermées dans des cases, et celles qui se retrouvent dans la catégorie des "mauvaises femmes" doivent en payer un prix énorme » explique-t-elle avec amertume. Elle se rappelle à quel point cette situation avait affecté son état mental et sa vision de l'avenir. « J'étais à un point où je pensais que ma vie était terminée. Je me suis dit : "Soit tu mets fin à tout, soit tu choisis de te battre, de te relever et de montrer tes créations." Et j'ai décidé de continuer, malgré les difficultés. »
Malgré le passé tumultueux, Zahia Dehar a su rebondir. Plus récemment, elle a lancé une entreprise de chocolats baptisée Croquez-moi, des créations en forme de diverses parties de son corps. Ce projet audacieux et personnel représente, selon elle, une forme de "libération" après une relation toxique qui l'avait empêchée de s'exprimer pleinement.