Le cul domine-t-il le monde? La question est brutale, effrontée, provoc’? Certes, mais un certain nombre de faits récents, médiatisés, prouve bien qu’on ne peut pas éviter d’en parler. Le sujet est tabou, mais il suscite curiosité et perplexité. Certains diront qu’il en a toujours été ainsi, malgré tout, quand certaines affaires concernent les hommes de pouvoir, on se rend bien compte que le sexe est d’abord une histoire d’hommes et de femmes qui savent en user et en abuser, à bon ou à mauvais escient.
Aux Etats-Unis, David Petraeus, chef de la puissante CIA, empêtré dans le premier scandale sexuel de l’ère Obama, a défrayé la chronique. Le sexagénaire a succombé aux charmes de la jolie Paula Broadwell, qui avait écrit sa biographie quand il était général. Et il en va de la sécurité nationale des Etats-Unis, le poste de Petraeus étant ô combien sensible… Et un autre général, John Allen, est aussi mouillé dans cette histoire pour des échanges de mails “déplacés” avec une autre femme!
En Angleterre, c’est la BBC qui a été le siège d’un scandale sexuel inimaginable. Jimmy Savile, qui était l’animateur-vedette de la chaîne, est accusé d’avoir agressé sexuellement plus de 300 enfants et adolescents pendant 40 ans! Soit personne ne savait et ils sont complètement à côté de la plaque Outre-Manche, soit les déviances de ce dépravé étaient connues mais non dévoilées, simplement parce que c’était une “star”, ce qui est grave et intolérable. Jimmy Savile est décédé, il ne pourra pas être jugé hélas, mais ceux qui l’ont soutenu devraient avoir honte.
En France, en plein débat sur le mariage homosexuel, qui fait polémique quoi qu’on en dise, ces histoires de fesses suscitent maints commentaires, mais quand on a eu l’affaire DSK, on n’était pas mieux loti, et on ferait mieux de nettoyer devant sa porte. En Italie, avec Berlusconi, c’était la totale! Les bunga bunga, du nom d’un jeu érotique qu’aurait pratiqué Silvio Berlusconi avec une vingtaine de jeunes femmes nues (souvent mineures), ont eu raison de la légitimité du président du Conseil italien. Et on pourrait continuer ainsi à citer nombre d’hommes de pouvoir, ailleurs ou ici, ayant succombé à la tentation de la chair, mais il faudrait, pour cela, écrire un livre entier…
En lisant le JIR la semaine dernière, on a appris que le roman érotique «50 nuances de Grey» est en rupture de stock à peine arrivé dans l’île. Un livre qui connaît un énorme succès mondial (plus de 40 millions d’exemplaires vendus en 6 mois !), et qui témoigne bien de l’intérêt pour les histoires quelque peu salaces. Un roman érotique, surnommé en l’occurrence porno pour maman», se vend, apparemment, beaucoup plus facilement qu’un livre qui poserait des questions existentielles. En d’autres termes, les histoires de fesses intéressent, inutile de se voiler la… face!
Aux Etats-Unis, David Petraeus, chef de la puissante CIA, empêtré dans le premier scandale sexuel de l’ère Obama, a défrayé la chronique. Le sexagénaire a succombé aux charmes de la jolie Paula Broadwell, qui avait écrit sa biographie quand il était général. Et il en va de la sécurité nationale des Etats-Unis, le poste de Petraeus étant ô combien sensible… Et un autre général, John Allen, est aussi mouillé dans cette histoire pour des échanges de mails “déplacés” avec une autre femme!
En Angleterre, c’est la BBC qui a été le siège d’un scandale sexuel inimaginable. Jimmy Savile, qui était l’animateur-vedette de la chaîne, est accusé d’avoir agressé sexuellement plus de 300 enfants et adolescents pendant 40 ans! Soit personne ne savait et ils sont complètement à côté de la plaque Outre-Manche, soit les déviances de ce dépravé étaient connues mais non dévoilées, simplement parce que c’était une “star”, ce qui est grave et intolérable. Jimmy Savile est décédé, il ne pourra pas être jugé hélas, mais ceux qui l’ont soutenu devraient avoir honte.
En France, en plein débat sur le mariage homosexuel, qui fait polémique quoi qu’on en dise, ces histoires de fesses suscitent maints commentaires, mais quand on a eu l’affaire DSK, on n’était pas mieux loti, et on ferait mieux de nettoyer devant sa porte. En Italie, avec Berlusconi, c’était la totale! Les bunga bunga, du nom d’un jeu érotique qu’aurait pratiqué Silvio Berlusconi avec une vingtaine de jeunes femmes nues (souvent mineures), ont eu raison de la légitimité du président du Conseil italien. Et on pourrait continuer ainsi à citer nombre d’hommes de pouvoir, ailleurs ou ici, ayant succombé à la tentation de la chair, mais il faudrait, pour cela, écrire un livre entier…
En lisant le JIR la semaine dernière, on a appris que le roman érotique «50 nuances de Grey» est en rupture de stock à peine arrivé dans l’île. Un livre qui connaît un énorme succès mondial (plus de 40 millions d’exemplaires vendus en 6 mois !), et qui témoigne bien de l’intérêt pour les histoires quelque peu salaces. Un roman érotique, surnommé en l’occurrence porno pour maman», se vend, apparemment, beaucoup plus facilement qu’un livre qui poserait des questions existentielles. En d’autres termes, les histoires de fesses intéressent, inutile de se voiler la… face!