Didier Robert a rencontré par visioconférence, l’ensemble des acteurs du fret maritime à La Réunion. L’objectif de cet état des lieux de la desserte (import/export) a été d’évaluer les risques pesant sur l’approvisionnement de l’île en marchandises et produits. Tout en priorisant les produits sanitaires et pharmaceutiques ainsi que l’alimentaire.
Etaient présents à ce temps d’échange et de discussion demandé par l’ADIR et organisé par la Région Réunion, les représentants des compagnies de transport maritime : MAERSK MSC, CMA CGM, BOLLORE, SEALOGAIR, les autres adhérents de l’Union Maritime Interprofessionnelle de la Réunion (les aconiers, les agents maritimes, les syndicats de transitaires, Grand Port Maritime) et le Secrétaire Général des Affaires Régionales.
Selon Didier ROBERT « Il y a une vraie prise de conscience collective et surtout une mobilisation de tous, afin d’assurer aux Réunionnais la continuité de l’arrivée des produits sur l’île. Il s’agit pour les différents intervenants d’assurer autant que possible, la continuité des marchés des entreprises importatrices et exportatrices ».
Une vigilance particulière ainsi que des mesures doivent être mises en place afin de permettre aux marchandises, notamment venant de Métropole, de continuer à être importées sur le sol réunionnais. « Il a déjà été constaté que moins de navires circulent, et que les temps de transit sont beaucoup plus longs », affirme Didier Robert. Il est à noter que dans les ports d’escales, les restrictions changent en fonction de l’évolution de la pandémie.
Le fret à l’export doit aussi continuer de fonctionner afin de permettre aux entreprises locales de poursuivre leur activité. Selon l’inter-profession portuaire, il y a un engorgement des terre-pleins du port car les conteneurs à l’export ne partent plus, et ceux entrant ne sont que peu récupérés par les importateurs (pour cause de commerces fermés, de confinement, ou de manque de trésorerie pour payer les droits et taxes).
« Cette période est inédite à La Réunion, nous devons faire bloc avec nos entreprises locales afin qu’elles puissent continuer à exporter leur production. Je ferai personnellement le lien avec la compagnie Air Austral afin de répondre aux cas d’urgence que seul le fret aérien peut traiter. Tous les outils doivent être mis à disposition afin d’assurer la continuité territoriale de l’import-export ».
Dans les prochains jours, les services de la Région et ceux de l’ADIR prendront contact avec le siège international des compagnies de transport desservant la Réunion. « Il faut appuyer les initiatives et le travail de leurs équipes locales qui font le maximum pour traiter la situation de La Réunion en tant que territoire insulaire, isolé et très dépendant des importations », affirme le Président de la Région Réunion.
Etaient présents à ce temps d’échange et de discussion demandé par l’ADIR et organisé par la Région Réunion, les représentants des compagnies de transport maritime : MAERSK MSC, CMA CGM, BOLLORE, SEALOGAIR, les autres adhérents de l’Union Maritime Interprofessionnelle de la Réunion (les aconiers, les agents maritimes, les syndicats de transitaires, Grand Port Maritime) et le Secrétaire Général des Affaires Régionales.
Selon Didier ROBERT « Il y a une vraie prise de conscience collective et surtout une mobilisation de tous, afin d’assurer aux Réunionnais la continuité de l’arrivée des produits sur l’île. Il s’agit pour les différents intervenants d’assurer autant que possible, la continuité des marchés des entreprises importatrices et exportatrices ».
Une vigilance particulière ainsi que des mesures doivent être mises en place afin de permettre aux marchandises, notamment venant de Métropole, de continuer à être importées sur le sol réunionnais. « Il a déjà été constaté que moins de navires circulent, et que les temps de transit sont beaucoup plus longs », affirme Didier Robert. Il est à noter que dans les ports d’escales, les restrictions changent en fonction de l’évolution de la pandémie.
Le fret à l’export doit aussi continuer de fonctionner afin de permettre aux entreprises locales de poursuivre leur activité. Selon l’inter-profession portuaire, il y a un engorgement des terre-pleins du port car les conteneurs à l’export ne partent plus, et ceux entrant ne sont que peu récupérés par les importateurs (pour cause de commerces fermés, de confinement, ou de manque de trésorerie pour payer les droits et taxes).
« Cette période est inédite à La Réunion, nous devons faire bloc avec nos entreprises locales afin qu’elles puissent continuer à exporter leur production. Je ferai personnellement le lien avec la compagnie Air Austral afin de répondre aux cas d’urgence que seul le fret aérien peut traiter. Tous les outils doivent être mis à disposition afin d’assurer la continuité territoriale de l’import-export ».
Dans les prochains jours, les services de la Région et ceux de l’ADIR prendront contact avec le siège international des compagnies de transport desservant la Réunion. « Il faut appuyer les initiatives et le travail de leurs équipes locales qui font le maximum pour traiter la situation de La Réunion en tant que territoire insulaire, isolé et très dépendant des importations », affirme le Président de la Région Réunion.