Parmi les signataires, des noms prestigieux tels que le réalisateur Bertrand Blier, les actrices Nathalie Baye, Carole Bouquet et Charlotte Rampling, les acteurs Jacques Weber, Pierre Richard et Gérard Darmon, ainsi que les chanteurs Roberto Alagna, Carla Bruni, Arielle Dombasle et Jacques Dutronc, ont uni leurs voix pour dénoncer ce qu'ils qualifient de "lynchage" en cours.
Dans leur déclaration, les signataires qualifient Gérard Depardieu de "dernier monstre sacré " du cinéma français, mettant en avant son génie artistique et son impact sur le rayonnement culturel de la France. Ils s'insurgent contre le " lynchage " et le " torrent de haine " dont il est victime, appelant à respecter la présomption d'innocence qui, selon eux, a été ignorée en raison de la stature iconique de l'acteur.
"Quoi qu'il arrive, personne ne pourra jamais effacer la trace indélébile de son œuvre dont notre époque est à tout jamais marquée. Le reste, tout le reste, concerne la justice; que la justice. Exclusivement ", ont-ils affirmé dans la tribune.
Le président Emmanuel Macron et des membres de la famille de Gérard Depardieu, y compris sa fille Julie, avaient déjà publiquement exprimé leur soutien à l'acteur, contestant les accusations portées contre lui.
La polémique a pris une ampleur internationale après la diffusion d'un reportage sur Gérard Depardieu dans l'émission "Complément d'enquête" sur France 2. Les images ont suscité l'indignation, montrant l'acteur proférant des propos misogynes et insultants envers des femmes, et même envers une fillette, avec des connotations sexuelles.
Suite à ces révélations, Gérard Depardieu a été radié de l'Ordre national du Québec et de son titre de citoyen d'honneur de la commune d'Estaimpuis en Belgique. De plus, sa statue de cire a été retirée du musée Grévin à Paris.
Dans leur déclaration, les signataires qualifient Gérard Depardieu de "dernier monstre sacré " du cinéma français, mettant en avant son génie artistique et son impact sur le rayonnement culturel de la France. Ils s'insurgent contre le " lynchage " et le " torrent de haine " dont il est victime, appelant à respecter la présomption d'innocence qui, selon eux, a été ignorée en raison de la stature iconique de l'acteur.
"Quoi qu'il arrive, personne ne pourra jamais effacer la trace indélébile de son œuvre dont notre époque est à tout jamais marquée. Le reste, tout le reste, concerne la justice; que la justice. Exclusivement ", ont-ils affirmé dans la tribune.
Le président Emmanuel Macron et des membres de la famille de Gérard Depardieu, y compris sa fille Julie, avaient déjà publiquement exprimé leur soutien à l'acteur, contestant les accusations portées contre lui.
La polémique a pris une ampleur internationale après la diffusion d'un reportage sur Gérard Depardieu dans l'émission "Complément d'enquête" sur France 2. Les images ont suscité l'indignation, montrant l'acteur proférant des propos misogynes et insultants envers des femmes, et même envers une fillette, avec des connotations sexuelles.
Suite à ces révélations, Gérard Depardieu a été radié de l'Ordre national du Québec et de son titre de citoyen d'honneur de la commune d'Estaimpuis en Belgique. De plus, sa statue de cire a été retirée du musée Grévin à Paris.