Capture Instagram Moha La Squale
Le procès, qui s'est déroulé sur quatre jours devant la 14e chambre du tribunal judiciaire de Paris, a jugé l'artiste pour des actes de violence, de menaces et de séquestration envers six anciennes petites amies, comme le rapporte BFM TV.
Le verdict vient de tomber...Le tribunal judiciaire de Paris a rendu son verdict, ajoutant un an de sursis probatoire à la peine de Moha La Squale, de son vrai nom Mohamed Bellahmed. Il doit également verser plus de 30 000 euros de dommages-intérêts aux parties civiles et environ 15 000 euros pour les frais d'avocat. La procureure avait initialement requis six ans de prison, dont quatre fermes.
Les accusations ont émergé sur les réseaux sociaux en septembre 2020, alors que Moha La Squale était au sommet de sa carrière grâce au succès de son premier album, Bendero. Rapidement, six femmes ont porté plainte, décrivant une relation amoureuse qui se transformait soudainement en cauchemar, avec des insultes, des violences et parfois des séquestrations.
Alexandra, qui a partagé la vie du rappeur pendant plus de deux ans, a témoigné du climat toxique instauré par Moha La Squale. Elle a raconté aux enquêteurs comment, lors de vacances en Espagne, il avait tenté de l'étouffer avec un oreiller pendant que sa cousine dormait à l'étage inférieur.
Lors du procès, les témoignages des victimes ont été rappelés, décrivant des gifles, insultes, crachats, tirages de cheveux, bousculades, étranglements et tentatives d'étouffement sans laisser de traces visibles.
" Je vous jure, madame. Des insultes, oui. Mais je n'ai jamais levé la main sur une femme " s'est défendu Moha La Squale devant le tribunal. Il a finalement présenté ses excuses, nommant lentement chacune des plaignantes et concluant par : " J'espère que vous me laisserez une dernière chance."
Le verdict vient de tomber...Le tribunal judiciaire de Paris a rendu son verdict, ajoutant un an de sursis probatoire à la peine de Moha La Squale, de son vrai nom Mohamed Bellahmed. Il doit également verser plus de 30 000 euros de dommages-intérêts aux parties civiles et environ 15 000 euros pour les frais d'avocat. La procureure avait initialement requis six ans de prison, dont quatre fermes.
Les accusations ont émergé sur les réseaux sociaux en septembre 2020, alors que Moha La Squale était au sommet de sa carrière grâce au succès de son premier album, Bendero. Rapidement, six femmes ont porté plainte, décrivant une relation amoureuse qui se transformait soudainement en cauchemar, avec des insultes, des violences et parfois des séquestrations.
Alexandra, qui a partagé la vie du rappeur pendant plus de deux ans, a témoigné du climat toxique instauré par Moha La Squale. Elle a raconté aux enquêteurs comment, lors de vacances en Espagne, il avait tenté de l'étouffer avec un oreiller pendant que sa cousine dormait à l'étage inférieur.
Lors du procès, les témoignages des victimes ont été rappelés, décrivant des gifles, insultes, crachats, tirages de cheveux, bousculades, étranglements et tentatives d'étouffement sans laisser de traces visibles.
" Je vous jure, madame. Des insultes, oui. Mais je n'ai jamais levé la main sur une femme " s'est défendu Moha La Squale devant le tribunal. Il a finalement présenté ses excuses, nommant lentement chacune des plaignantes et concluant par : " J'espère que vous me laisserez une dernière chance."
