Le ministère de l'Intérieur a annoncé avoir découvert des preuves préliminaires suggérant que la mère de Chidimma Adetshina, candidate à Miss Afrique du Sud, aurait commis une usurpation d'identité. Cette annonce a été faite mercredi dans une déclaration du ministre de l'Intérieur, Leon Schreiber.
Cette révélation intervient après que plusieurs Sud-Africains ont remis en question l'identité de Chidimma en raison de son nom de famille nigérian. Il a été révélé que le père de Chidimma serait nigérian tandis que sa mère serait originaire du Mozambique.
Dans une déclaration détaillée, Leon Schreiber a expliqué qu'une mère sud-africaine innocente avait vu son identité volée dans le cadre de la fraude présumée commise par la mère d'Adetshina.
Le ministère a élargi son enquête pour identifier et poursuivre tout fonctionnaire impliqué dans ce schéma frauduleux présumé.
Leon Schreiber a souligné que ces activités frauduleuses auraient été commises il y a 23 ans, ce qui met en lumière la nécessité urgente de moderniser numériquement les applications du ministère de l'Intérieur.
Parallèlement, l'Alliance Patriotique (AP) a également lancé une enquête sur cette affaire, affirmant que la candidate n'était pas une ambassadrice sud-africaine. En revanche des voix se sont élevées dénonçant le sentiment anti-noir et afrophobe dans l'affaire Chidimma Adetshina. La jeune femme étant née en Afrique du Sud, possède bel et bien la nationalité sud-africaine et sera une concurrente très sérieuse pour les prétendantes à la couronne ce samedi.
Cette révélation intervient après que plusieurs Sud-Africains ont remis en question l'identité de Chidimma en raison de son nom de famille nigérian. Il a été révélé que le père de Chidimma serait nigérian tandis que sa mère serait originaire du Mozambique.
Dans une déclaration détaillée, Leon Schreiber a expliqué qu'une mère sud-africaine innocente avait vu son identité volée dans le cadre de la fraude présumée commise par la mère d'Adetshina.
Le ministère a élargi son enquête pour identifier et poursuivre tout fonctionnaire impliqué dans ce schéma frauduleux présumé.
Leon Schreiber a souligné que ces activités frauduleuses auraient été commises il y a 23 ans, ce qui met en lumière la nécessité urgente de moderniser numériquement les applications du ministère de l'Intérieur.
Parallèlement, l'Alliance Patriotique (AP) a également lancé une enquête sur cette affaire, affirmant que la candidate n'était pas une ambassadrice sud-africaine. En revanche des voix se sont élevées dénonçant le sentiment anti-noir et afrophobe dans l'affaire Chidimma Adetshina. La jeune femme étant née en Afrique du Sud, possède bel et bien la nationalité sud-africaine et sera une concurrente très sérieuse pour les prétendantes à la couronne ce samedi.