Première enquête pour harcèlement sexuel
La première enquête a été ouverte le 7 novembre dernier par le parquet de Saint-Étienne. Elle fait suite à une plainte déposée le 28 octobre 2024 par un ancien technicien de la tournée de Slimane. Selon cette plainte, les faits reprochés se seraient déroulés en marge d’un concert au Zénith de Saint-Étienne, le 17 décembre 2023, et se seraient poursuivis dans la nuit du 17 au 18 décembre.
Le plaignant accuse Slimane de lui avoir fait des avances non consenties, l’ayant notamment "plaqué contre un mur" en lui demandant un "rapport sexuel". Après avoir rejeté ces avances, il aurait reçu plusieurs messages à caractère sexuel de la part du chanteur.
Deuxième enquête pour agressions sexuelles
Une seconde plainte a été déposée le lundi 18 novembre 2024 comme le rapportent BFMTV et le Parisien, cette fois pour des faits présumés d'agression sexuelle et de tentative d'agression sexuelle. Déposée par un autre ancien technicien âgé de 33 ans, cette plainte concerne également des événements survenus dans la nuit du 17 au 18 décembre 2023, après le même concert.
Selon le Code pénal, les accusations de "harcèlement sexuel aggravé par l’utilisation d’un support numérique ou électronique" sont passibles de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.
La première enquête a été ouverte le 7 novembre dernier par le parquet de Saint-Étienne. Elle fait suite à une plainte déposée le 28 octobre 2024 par un ancien technicien de la tournée de Slimane. Selon cette plainte, les faits reprochés se seraient déroulés en marge d’un concert au Zénith de Saint-Étienne, le 17 décembre 2023, et se seraient poursuivis dans la nuit du 17 au 18 décembre.
Le plaignant accuse Slimane de lui avoir fait des avances non consenties, l’ayant notamment "plaqué contre un mur" en lui demandant un "rapport sexuel". Après avoir rejeté ces avances, il aurait reçu plusieurs messages à caractère sexuel de la part du chanteur.
Deuxième enquête pour agressions sexuelles
Une seconde plainte a été déposée le lundi 18 novembre 2024 comme le rapportent BFMTV et le Parisien, cette fois pour des faits présumés d'agression sexuelle et de tentative d'agression sexuelle. Déposée par un autre ancien technicien âgé de 33 ans, cette plainte concerne également des événements survenus dans la nuit du 17 au 18 décembre 2023, après le même concert.
Selon le Code pénal, les accusations de "harcèlement sexuel aggravé par l’utilisation d’un support numérique ou électronique" sont passibles de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.