Le Maloya est inscrit au Patrimoine Mondial Immatériel de l’Unesco depuis le 1er octobre 2009.
A cette occasion, le Lycée Paul Langevin a organisé tout au long de la journée plusieurs activités découvertes autour du maloya : instruments, cinéma, moringue, danse…
Pour Inelda LEVENEUR, Adjointe au Maire de Saint-Joseph, « fêter le maloya, c’est connaître notre histoire et en être fier. »
« Samedi dernier, 1er octobre, ce fut le 13e anniversaire de l’inscription du maloya au patrimoine immatériel de l’Humanité par l’UNESCO, l’Organisation des Nations Unies pour l’Education et la Culture. Cette inscription a signifié la reconnaissance au niveau mondial d’un élément central et symbolique de notre identité et de notre culture réunionnaises, le maloya, à la fois chant, danse et musique propres à La Réunion. La Région Réunion agit pour que les Réunionnais s’approprient leur histoire, aient conscience de leur identité, soient fiers de leur culture. C’est pourquoi chaque année, elle organise des événements autour du maloya, à la fois avec une dimension festive pour tous publics et des actions pédagogiques à destination des publics scolaires. Le maloya est un symbole de notre culture. A la fois danse, chant et musique, il vient d’Afrique, a fait des emprunts à Madagascar et a traversé les décennies en devenant spécifique à La Réunion dans une société longtemps esclavagiste. Le soir, après de longues journées de dur labeur, les esclaves se retrouvaient autour d’un feu, racontaient des histoires, maintenant ainsi la tradition orale ancestrale, chantaient et dansaient, exprimant leurs peines, leurs rêves, leurs espoirs… Ils dansaient le séga, le maloya laissant le quadrille ou d’autres danses européennes à la bourgeoisie blanche qui dominait la société de plantation. Soyons donc fiers de notre culture réunionnaise, qui est un enrichissement de la culture française et partie prenante, on le voit pour le maloya, de la culture de l’humanité », termine le Conseiller Régional, Wilfrid BERTILE.
A cette occasion, le Lycée Paul Langevin a organisé tout au long de la journée plusieurs activités découvertes autour du maloya : instruments, cinéma, moringue, danse…
Pour Inelda LEVENEUR, Adjointe au Maire de Saint-Joseph, « fêter le maloya, c’est connaître notre histoire et en être fier. »
« Samedi dernier, 1er octobre, ce fut le 13e anniversaire de l’inscription du maloya au patrimoine immatériel de l’Humanité par l’UNESCO, l’Organisation des Nations Unies pour l’Education et la Culture. Cette inscription a signifié la reconnaissance au niveau mondial d’un élément central et symbolique de notre identité et de notre culture réunionnaises, le maloya, à la fois chant, danse et musique propres à La Réunion. La Région Réunion agit pour que les Réunionnais s’approprient leur histoire, aient conscience de leur identité, soient fiers de leur culture. C’est pourquoi chaque année, elle organise des événements autour du maloya, à la fois avec une dimension festive pour tous publics et des actions pédagogiques à destination des publics scolaires. Le maloya est un symbole de notre culture. A la fois danse, chant et musique, il vient d’Afrique, a fait des emprunts à Madagascar et a traversé les décennies en devenant spécifique à La Réunion dans une société longtemps esclavagiste. Le soir, après de longues journées de dur labeur, les esclaves se retrouvaient autour d’un feu, racontaient des histoires, maintenant ainsi la tradition orale ancestrale, chantaient et dansaient, exprimant leurs peines, leurs rêves, leurs espoirs… Ils dansaient le séga, le maloya laissant le quadrille ou d’autres danses européennes à la bourgeoisie blanche qui dominait la société de plantation. Soyons donc fiers de notre culture réunionnaise, qui est un enrichissement de la culture française et partie prenante, on le voit pour le maloya, de la culture de l’humanité », termine le Conseiller Régional, Wilfrid BERTILE.