La veille, les fidèles procèdent à la purification de la maison en lavant (serpillière) les pièces, en aspergeant un mélange d’eau de mer et de kormion (pipi de vache) pour accueillir les divinités. Certains brûleront dans leur cour, un pantin fait de paille sèche, représentant le mal, les mauvaises aspérités que l’on chasse et brûlent de l’encens pour emmener de nouvelles énergies. Ils attachent des feuilles de lilas et de mangue, de bons conducteurs d’énergie, aux portes et aux fenêtres et se protègent avec un pouttou, point de poudre de couleur rouge, signe de protection et destinée à contrer les regards envieux. En parallèle, la purification se fait aussi au niveau psychique en chassant les mauvaises pensées par des mantras (prières) guidant les divinités bienveillantes, mais aussi physiques en buvant une cuillère d’huile de lilas, puissant nettoyant d’organes, par un carême exclusivement végétalien, temps de purification du corps pour préparer la venue de la nouvelle année.
Le jour de l’an, les coréligionnaires se réveillent avant le lever de Sourya, le Soleil, prennent un bain purificateur composé principalement, d’eau, eau de rose, eau de mer, d’eau de safran, d’huile de sésame,… Ils s’habillent pour ceux qui le peuvent de vêtements neufs ou de vêtements propres. Le premier rituel se fait en famille, tout le monde se réunit devant l’autel du domicile et simplement allume une lampe et un camphre représentant la déesse Laksmy, la déesse de la lumière.
Certaines familles iront soit au temple familial ou au temple de la ville pour écouter les prières des swamis et assister aux différents rituels et offrandes. Il est aussi de coutume le jour du nouvel an d’écouter la lecture du Pandjangam. La lecture de cet almanach tamoul riche en informations à caractère religieux et astrologique révèle les prévisions pour la nouvelle année.
La matinée se termine par la présentation des souhaits et par un moment de solidarité et de partage de repas spécialement conçus; à savoir un mélange de six saveurs, dont le sucré, du salé, l’aigre-doux, l’amer, qui représentent les différentes composantes du quotidien, les bons moments comme les mauvais moments en direction des personnes en difficulté, aux aînées, de la famille et des amis…
L’occasion par ailleurs pour les enfants de recevoir des étrennes par la famille et de déguster pâtisseries traditionnelles sucrés, à base de riz, de lait, de miel et de sucre.
Le jour de l’an, les coréligionnaires se réveillent avant le lever de Sourya, le Soleil, prennent un bain purificateur composé principalement, d’eau, eau de rose, eau de mer, d’eau de safran, d’huile de sésame,… Ils s’habillent pour ceux qui le peuvent de vêtements neufs ou de vêtements propres. Le premier rituel se fait en famille, tout le monde se réunit devant l’autel du domicile et simplement allume une lampe et un camphre représentant la déesse Laksmy, la déesse de la lumière.
Certaines familles iront soit au temple familial ou au temple de la ville pour écouter les prières des swamis et assister aux différents rituels et offrandes. Il est aussi de coutume le jour du nouvel an d’écouter la lecture du Pandjangam. La lecture de cet almanach tamoul riche en informations à caractère religieux et astrologique révèle les prévisions pour la nouvelle année.
La matinée se termine par la présentation des souhaits et par un moment de solidarité et de partage de repas spécialement conçus; à savoir un mélange de six saveurs, dont le sucré, du salé, l’aigre-doux, l’amer, qui représentent les différentes composantes du quotidien, les bons moments comme les mauvais moments en direction des personnes en difficulté, aux aînées, de la famille et des amis…
L’occasion par ailleurs pour les enfants de recevoir des étrennes par la famille et de déguster pâtisseries traditionnelles sucrés, à base de riz, de lait, de miel et de sucre.
