D’abord, il y a ces instants où j’ai cédé à la pression de vouloir tout contrôler. Que ce soit dans le travail ou dans ma vie personnelle, l’envie de tout prévoir, planifier et maîtriser m’a souvent privé d’un plaisir simple : celui de lâcher prise. En 2025, je choisis de laisser la vie me surprendre, de faire confiance au processus naturel des choses et d’accepter que tout ne peut être parfait. Le perfectionnisme a été un compagnon fidèle, mais il est temps de lui dire adieu.
Ensuite, il y a cette habitude de remettre à plus tard ce qui me tient à cœur, sous prétexte de prioriser les « urgences ». Combien de projets créatifs ai-je laissés en suspens, combien de moments précieux ai-je manqués parce que j’avais le nez collé à des deadlines éphémères ? En 2025, je choisis de redéfinir mes priorités : réserver du temps pour ce qui nourrit vraiment mon âme.
Il y a également ces relations que j’ai maintenues par habitude ou par politesse, malgré leur poids émotionnel. Désormais, je me détourne des énergies négatives, non par rancune, mais par amour pour moi-même. Je préfère entretenir des liens authentiques et bienveillants, où la réciprocité et le respect sont au centre.
Enfin, je choisis d’abandonner cette voix intérieure qui doute, qui critique, qui freine. Ces dernières années m’ont appris que la peur de l’échec est souvent plus paralysante que l’échec lui-même. En 2025, je préfère adopter une mentalité de croissance : chaque obstacle est une opportunité d’apprendre, chaque échec, une étape vers la réussite.
2025 ne sera pas parfait, mais il sera différent. Je choisis de construire cette année sur des fondations plus saines, avec davantage de gratitude, de spontanité et d’amour. Ce que je laisse derrière n’est pas une perte, mais une libération.