Dénonçant une "surexposition aux écrans" et les dangers de contenus tels que la pornographie ou les deep fakes, Vallaud-Belkacem met en avant les risques pour la santé publique ainsi que l'impact environnemental considérable du secteur numérique. Elle appelle à une "action politique d'ampleur" pour réduire la consommation d'Internet, en suggérant un rationnement quotidien des données.
Bien que consciente que cette proposition ne résoudrait pas tous les problèmes liés à Internet, l'ancienne ministre souligne les bénéfices potentiels d'une telle mesure sur le développement cognitif, la santé, la réduction des discriminations et la lutte contre le réchauffement climatique.
La secrétaire d’État chargée du numérique, Marina Ferrari, a rapidement exprimé son désaccord face à cette proposition, la qualifiant de "pire manière d’aborder le débat sur notre rapport aux écrans". Sur la plateforme X, elle critique l'approche "manichéenne et hors-sol" de Vallaud-Belkacem, arguant que les enjeux numériques requièrent une réflexion plus nuancée compte tenu de la diversité des utilisateurs et de leurs besoins.
Bien que consciente que cette proposition ne résoudrait pas tous les problèmes liés à Internet, l'ancienne ministre souligne les bénéfices potentiels d'une telle mesure sur le développement cognitif, la santé, la réduction des discriminations et la lutte contre le réchauffement climatique.
La secrétaire d’État chargée du numérique, Marina Ferrari, a rapidement exprimé son désaccord face à cette proposition, la qualifiant de "pire manière d’aborder le débat sur notre rapport aux écrans". Sur la plateforme X, elle critique l'approche "manichéenne et hors-sol" de Vallaud-Belkacem, arguant que les enjeux numériques requièrent une réflexion plus nuancée compte tenu de la diversité des utilisateurs et de leurs besoins.