La protection et la valorisation des milieux naturels fait partie intégrante du chantier de la Nouvelle Route du Littoral (NRL).
C’est dans ce contexte que vient s’inscrire la mesure compensatoire marine mise en oeuvre pour la réhabilitation des sites de ponte des tortues à La Réunion en partenariat avec le Centre d’étude et de découverte des tortues marines (CEDTM) et Kélonia.
Cinq plages ont été identifiées : la plage de Maharani à Boucan Canot, la plage de la Souris blanche – Souris chaude à la Pointe de Trois-Bassins, la plage du cimetière de Saint Leu, la plage de la Ravine Mulat à l’Étang Salé et la plage au Nord de la Ravine de Trois-Bassins qui, elle, est en cours d’étude.
Cette mesure compensatoire bénéficie en outre de l’accompagnement d’une équipe d’emplois verts financée par la Région Réunion, qui a pour missions la lutte contre les espèces exotiques envahissantes, l’entretien et l’affichage de panneaux informatifs sur les plages concernées.
« Je suis salariée dans l’association depuis 9 mois et je ne saurais vous dire à quel point je suis fière de travailler et d’oeuvrer à l’embellissement de mon île. Sur le site de Kélonia, nous faisons l’entretien de la plage et nous participons à la re-végétalisation des lieux.
Je trouve que c’est une très bonne chose de participer au maintien de la santé des plages et particulièrement des sites de ponte des tortues marines. Ça serait d’ailleurs un vrai bonheur pour moi de pouvoir découvrir un matin des oeufs de tortues sur la plage. C’est pourquoi il est important de tout mettre en oeuvre pour les guider et leur offrir les meilleures conditions possibles » raconte Céline Grondin, agent emploi vert association Piton Saint-Leu "Lève la Tête".
Plusieurs espèces de plantes ont été réimplantées sur les différents sites afin de recréer un habitat favorable à la ponte des tortues marines. Parmi elles, le Porcher ou Bois de Peinture, le Latanier Rouge, le Manioc Marron Bord de Mer, le Mova ou Mahot bord de mer... Toutes ces espèces permettent aux tortues femelles d’identifier les plages les plus favorables (théorie de la plume olfactive) à la ponte.
Cette mesure apporte également de nombreuses opportunités scientifiques et pédagogiques : à la communauté scientifique l’approfondissement des connaissances quant aux modes de vie des tortues, aux scolaires la participation aux différents projets et au grand public une implication plus forte dans la préservation du patrimoine végétal et animal de La Réunion.
C’est dans ce contexte que vient s’inscrire la mesure compensatoire marine mise en oeuvre pour la réhabilitation des sites de ponte des tortues à La Réunion en partenariat avec le Centre d’étude et de découverte des tortues marines (CEDTM) et Kélonia.
Cinq plages ont été identifiées : la plage de Maharani à Boucan Canot, la plage de la Souris blanche – Souris chaude à la Pointe de Trois-Bassins, la plage du cimetière de Saint Leu, la plage de la Ravine Mulat à l’Étang Salé et la plage au Nord de la Ravine de Trois-Bassins qui, elle, est en cours d’étude.
Cette mesure compensatoire bénéficie en outre de l’accompagnement d’une équipe d’emplois verts financée par la Région Réunion, qui a pour missions la lutte contre les espèces exotiques envahissantes, l’entretien et l’affichage de panneaux informatifs sur les plages concernées.
« Je suis salariée dans l’association depuis 9 mois et je ne saurais vous dire à quel point je suis fière de travailler et d’oeuvrer à l’embellissement de mon île. Sur le site de Kélonia, nous faisons l’entretien de la plage et nous participons à la re-végétalisation des lieux.
Je trouve que c’est une très bonne chose de participer au maintien de la santé des plages et particulièrement des sites de ponte des tortues marines. Ça serait d’ailleurs un vrai bonheur pour moi de pouvoir découvrir un matin des oeufs de tortues sur la plage. C’est pourquoi il est important de tout mettre en oeuvre pour les guider et leur offrir les meilleures conditions possibles » raconte Céline Grondin, agent emploi vert association Piton Saint-Leu "Lève la Tête".
Plusieurs espèces de plantes ont été réimplantées sur les différents sites afin de recréer un habitat favorable à la ponte des tortues marines. Parmi elles, le Porcher ou Bois de Peinture, le Latanier Rouge, le Manioc Marron Bord de Mer, le Mova ou Mahot bord de mer... Toutes ces espèces permettent aux tortues femelles d’identifier les plages les plus favorables (théorie de la plume olfactive) à la ponte.
Cette mesure apporte également de nombreuses opportunités scientifiques et pédagogiques : à la communauté scientifique l’approfondissement des connaissances quant aux modes de vie des tortues, aux scolaires la participation aux différents projets et au grand public une implication plus forte dans la préservation du patrimoine végétal et animal de La Réunion.