Ce dispositif consiste en la mise à disposition par le Conseil Départemental dans le cadre d’une convention Etat/Département de quatre assistantes sociales qui interviennent auprès de toutes personnes en détresse sociale mais plus particulièrement auprès des victimes de violences conjugales et intrafamiliales qui se présentent au commissariat de police et en gendarmerie.
Le Président du Département a rappelé à la Ministre des Outre-mer le soutien entier de la collectivité aux côtés de l’Etat pour poursuivre la lutte contre ce fléau que constituent les violences faites aux femmes.
Alors qu’était initialement prévu le recrutement de deux assistantes sociales, le Département veut aller encore plus loin, plus vite pour répondre au mieux à l’urgence. Ce sont quatre assistantes sociales qui viendront renforcer le dispositif et ce, dans la continuité des engagements pris par la collectivité départementale depuis plusieurs années, et conformément aux orientations du contrat de convergence.
D’ici la fin de l’année, quatre assistantes sociales supplémentaires seront mises à la disposition des services de police et de gendarmerie.
L’accompagnement de ces travailleuses sociales est essentiel car il s’agit d’établir une relation de confiance avec les femmes qui souhaitent dénoncer les violences qu’elles subissent.
Ces 8 assistantes sociales sont des relais essentiels entre les victimes et les policiers ou les gendarmes.
"La lutte contre les violences faites aux femmes doit aussi passer par une libération de la parole, en restaurant la confiance par le langage et le dialogue" a par ailleurs précisé Cyrille Melchior.
Le Président du Département a rappelé à la Ministre des Outre-mer le soutien entier de la collectivité aux côtés de l’Etat pour poursuivre la lutte contre ce fléau que constituent les violences faites aux femmes.
Alors qu’était initialement prévu le recrutement de deux assistantes sociales, le Département veut aller encore plus loin, plus vite pour répondre au mieux à l’urgence. Ce sont quatre assistantes sociales qui viendront renforcer le dispositif et ce, dans la continuité des engagements pris par la collectivité départementale depuis plusieurs années, et conformément aux orientations du contrat de convergence.
D’ici la fin de l’année, quatre assistantes sociales supplémentaires seront mises à la disposition des services de police et de gendarmerie.
L’accompagnement de ces travailleuses sociales est essentiel car il s’agit d’établir une relation de confiance avec les femmes qui souhaitent dénoncer les violences qu’elles subissent.
Ces 8 assistantes sociales sont des relais essentiels entre les victimes et les policiers ou les gendarmes.
"La lutte contre les violences faites aux femmes doit aussi passer par une libération de la parole, en restaurant la confiance par le langage et le dialogue" a par ailleurs précisé Cyrille Melchior.