Photo d'illustration Pixabay
Que faire lorsque les deux violons sont mal accordés? L'échappatoire semble sous la couette être la simulation qui met fin aux ébats interminables...
L'enquête du site Zava dresse un constat implacable: des deux côtés de l'Atlantique on simule sous la couette et à ce petit jeu les femmes sont les championnes, ou les plus franches.
68 % des femmes et 27 % des hommes ont confessé avoir déjà simulé un l’orgasme avec leur partenaire.
La comédie au lit est-elle l'apanage des couples hétéros ? La réponse est plus fine, les personnes les plus enclines à simuler seraient les femmes hétérosexuelles. Les bisexuelles et lesbiennes ne se forcent pas, elles ! A l'inverse les hommes bisexuels à 34% ou homosexuels 48% simulent plus que les hétéros (25%).
L'étude révèle également une grande injustice: les hommes ont cinq fois plus de chance d'atteindre l'orgasme que les femmes.
Enfin l'étude affirme que la simulation est très pratiquée lors de premières rencontres ou de relations éphémères alors que pour les couples s'inscrivant dans la durée ce stratagème n'est plus utilisé.
L'enquête du site Zava dresse un constat implacable: des deux côtés de l'Atlantique on simule sous la couette et à ce petit jeu les femmes sont les championnes, ou les plus franches.
68 % des femmes et 27 % des hommes ont confessé avoir déjà simulé un l’orgasme avec leur partenaire.
La comédie au lit est-elle l'apanage des couples hétéros ? La réponse est plus fine, les personnes les plus enclines à simuler seraient les femmes hétérosexuelles. Les bisexuelles et lesbiennes ne se forcent pas, elles ! A l'inverse les hommes bisexuels à 34% ou homosexuels 48% simulent plus que les hétéros (25%).
L'étude révèle également une grande injustice: les hommes ont cinq fois plus de chance d'atteindre l'orgasme que les femmes.
Enfin l'étude affirme que la simulation est très pratiquée lors de premières rencontres ou de relations éphémères alors que pour les couples s'inscrivant dans la durée ce stratagème n'est plus utilisé.
