"Je visualise mon corps comme une toile blanche et les haltères comme mes pinceaux"
A 28 ans, Julien travaille comme assistant commercial dans le monde l'automobile. Le beau gosse, originaire de Paris, est un passionné de culture physique. Son sport il le voit en grand et en parle comme ' d'un art, une philosophie de vie". Très simplement, il détaille cet entrainement devenu un rituel : " Je dessine mon physique a chaque séance. Je visualise mon corps comme une toile blanche et les haltères comme mes pinceaux. Je dessine une silhouette harmonieuse et précise ".
Et afin d'avoir des résultats, pas de mystère : il faut travailler. Julien le dit : " Je suis un bosseur. Selon moi pas de place au hasard, pas de place pour la chance. Je mise tout sur un travail acharné ".
Et afin d'avoir des résultats, pas de mystère : il faut travailler. Julien le dit : " Je suis un bosseur. Selon moi pas de place au hasard, pas de place pour la chance. Je mise tout sur un travail acharné ".
Le bodybuilding pour apprendre la patience
Cet impulsif, il le sait, fonce. Il s'en défend d'ailleurs : " Je ne me pose pas de questions. Je préfère avoir des remords que des regrets. Parfois un peu trop impulsif... je veux tout et tout de suite. C'est pour cela que le monde du bodybuilding a joué un grand rôle dans ma vie et surtout dans mes décisions. Apprendre a être plus patient, savoir me canaliser et savoir prendre le recul nécessaire sur certains événements ". Le bodybuilding source de sagesse, c'est Julien qui le dit !