Des premiers attouchements à 12ans
Image d'illustration Freepik
Les faits se sont déroulés dans une bergerie de la Creuse. Accusé d'avoir violé la sœur de sa compagne, l'homme a été reconnu comme le père de l'enfant de cette dernière. La victime n'est âgée que de 15 ans selon une information du Parisien. Les premiers attouchements et divers rapports sexuels remontent, eux, à l'époque où la jeune femme n'était âgée que de 12ans.
A la barre du tribunal départemental l'homme déclare : « Elle disait que j’étais l’homme de sa vie mais j’étais bourré alors j’ai cédé à ses avances ». La jeune femme a été placée en foyer après la naissance de son bébé, elle a par la suite décidée de mettre un terme à l'emprise de son beau-frère en portant plainte. Dans un accès de colère le quinquagénaire l'a menacée, insultée publiquement et a même diffusé des photographies de la jeune femme dénudée dans son lycée.
La décision du tribunal est tombé ce mercredi :10 ans de réclusion criminelle pour l'accusé. L'homme de 56 ans a été reconnu coupable de rapport sexuels consentis avec une mineure et condamné à versé 20 000€ de dommages et intérêts à la victime. L'accusé qualifie sa belle sœur "d'aguicheuse ", un témoignage soutenu par plusieurs membres de sa famille à la barre. La famille de la victime, elle, explique ne rien avoir vu, entendu ou suspecté.
A la barre du tribunal départemental l'homme déclare : « Elle disait que j’étais l’homme de sa vie mais j’étais bourré alors j’ai cédé à ses avances ». La jeune femme a été placée en foyer après la naissance de son bébé, elle a par la suite décidée de mettre un terme à l'emprise de son beau-frère en portant plainte. Dans un accès de colère le quinquagénaire l'a menacée, insultée publiquement et a même diffusé des photographies de la jeune femme dénudée dans son lycée.
La décision du tribunal est tombé ce mercredi :10 ans de réclusion criminelle pour l'accusé. L'homme de 56 ans a été reconnu coupable de rapport sexuels consentis avec une mineure et condamné à versé 20 000€ de dommages et intérêts à la victime. L'accusé qualifie sa belle sœur "d'aguicheuse ", un témoignage soutenu par plusieurs membres de sa famille à la barre. La famille de la victime, elle, explique ne rien avoir vu, entendu ou suspecté.
