L’île de La Réunion peut compter sur une biodiversité végétale riche. Comment préserver notre territoire des plantes invasives et surtout protéger les plantes endémiques ? C’est là toute la réflexion de la démarche DAUPI. La première phase du projet DAUPI, initiée en 2012, a pour objectifs initiaux de construire des outils pour aider les professionnels à identifier, produire et choisir des espèces végétales indigènes et des espèces exotiques non envahissantes dans le cadre de projets de végétalisation des espaces urbains et péri-urbains. Au MOCA, ces trois journées furent l’occasion de dresser un bilan sur ces 10 années passées, et écrire un nouveau plan directeur de protection pour notre île.
Pour la Conseillère Régionale, Évelyne CORBIÈRE, « la volonté et la nécessité d’organiser le plan d’action réunionnais DAUPI sont bien réelles pour limiter l’utilisation d’espèces exotiques envahissantes. En effet, l’objectif était de favoriser le recours aux espèces indigènes dans l’aménagement des espaces urbains et péri-urbains. C’était une nécessité, car il nous fallait bien être cohérent avec la Stratégie de Lutte contre les espèces envahissantes à La Réunion ainsi qu’elle est déclinée dans le Programme Opérationnel de Lutte contre les espèces Invasives (POLI).
Au moment où nous entamons la révision du Schéma d’Aménagement Régional, la DEMARCHE AMENAGEMENT URBAIN ET PLANTES INDIGENES est à considérer comme incontournable dans notre projet de développement pour La Réunion. Ces premières rencontres DAUPI nous rappellent l’urgente nécessité d’un développement durable et nous invitent à la découverte, à la re-découverte même, et à la création d’une Réunion plus préservée et toujours plus authentique. »
Pour la Conseillère Régionale, Évelyne CORBIÈRE, « la volonté et la nécessité d’organiser le plan d’action réunionnais DAUPI sont bien réelles pour limiter l’utilisation d’espèces exotiques envahissantes. En effet, l’objectif était de favoriser le recours aux espèces indigènes dans l’aménagement des espaces urbains et péri-urbains. C’était une nécessité, car il nous fallait bien être cohérent avec la Stratégie de Lutte contre les espèces envahissantes à La Réunion ainsi qu’elle est déclinée dans le Programme Opérationnel de Lutte contre les espèces Invasives (POLI).
Au moment où nous entamons la révision du Schéma d’Aménagement Régional, la DEMARCHE AMENAGEMENT URBAIN ET PLANTES INDIGENES est à considérer comme incontournable dans notre projet de développement pour La Réunion. Ces premières rencontres DAUPI nous rappellent l’urgente nécessité d’un développement durable et nous invitent à la découverte, à la re-découverte même, et à la création d’une Réunion plus préservée et toujours plus authentique. »