Ceux qui l’ont connu s’en souviennent encore comme d’un hyperactif, curieux, insatiable… S’il y a en un qui l’a bien connu, c’est notre directeur de publication. «J’ai commencé ma carrière de journaliste comme pigiste avec Bernard Oudin, c’était en 1984» raconte Aziz Patel. «J’ai appris le métier avec lui. Bernard était toujours en mouvement, il avait des idées sur tout, et il savait s’adapter au contexte et à la demande des lecteurs. Et il aimait beaucoup écrire…»
Bernard Oudin, originaire de la Meuse, a travaillé à «L’Union», puis à «L’Est Républicain», il s’était spécialisé dans les faits-divers. «Sexagénaire truculent, il n'a pas perdu une once de son dynamisme» écrivait récemment Hervé Chabaud dans «L’Union de Reims». «Sa curiosité est toujours aussi aiguisée. Il cherche, il fouille, il farfouille. Il trouve, il décortique, il assemble. Il ne lui reste plus qu'à mettre en forme... »
Bernard Oudin, originaire de la Meuse, a travaillé à «L’Union», puis à «L’Est Républicain», il s’était spécialisé dans les faits-divers. «Sexagénaire truculent, il n'a pas perdu une once de son dynamisme» écrivait récemment Hervé Chabaud dans «L’Union de Reims». «Sa curiosité est toujours aussi aiguisée. Il cherche, il fouille, il farfouille. Il trouve, il décortique, il assemble. Il ne lui reste plus qu'à mettre en forme... »
C’est ce qu’il fait dans «Les confettis de la haine», un polar qui se déroule en Algérie où l’ambassadeur de France est retrouvé mort, le corps déchiqueté par une explosion. Daniel Bichet, patron de la Brigade criminelle, un commissaire à l'ancienne mais dont l'intuition est d'un précieux conseil, est dépêché en urgence à Alger pour résoudre l’affaire dans un contexte politique tendu. Il y a beaucoup de rebondissements dans ce livre de 215 pages qui se laisse dévorer…
Avant et après La Réunion, Bernard Oudin a beaucoup bougé. Il a travaillé dans l’ex-Yougoslavie, au Yémen, en Ethiopie, à Djibouti, en Algérie,… avant de revenir dans sa région natale. Son expérience, au plus près de la diplomatie et des services de renseignement, l’ont beaucoup servie pour écrire ce roman mêlant crime et espionnage.
Avec «Les confettis de la haine», Philippe Hautefontaine signe son troisième roman, après «Le serment de Chamarel» et «Bon Dieu d’sort!». Il a déjà annoncé qu’il donnerait une suite à ce polar, et le titre est déjà trouvé: «La clé de fa» dont l’action se déroulera à Paris… On vous l’a dit, Bernard Oudin ne sait pas rester inactif…
Avant et après La Réunion, Bernard Oudin a beaucoup bougé. Il a travaillé dans l’ex-Yougoslavie, au Yémen, en Ethiopie, à Djibouti, en Algérie,… avant de revenir dans sa région natale. Son expérience, au plus près de la diplomatie et des services de renseignement, l’ont beaucoup servie pour écrire ce roman mêlant crime et espionnage.
Avec «Les confettis de la haine», Philippe Hautefontaine signe son troisième roman, après «Le serment de Chamarel» et «Bon Dieu d’sort!». Il a déjà annoncé qu’il donnerait une suite à ce polar, et le titre est déjà trouvé: «La clé de fa» dont l’action se déroulera à Paris… On vous l’a dit, Bernard Oudin ne sait pas rester inactif…