La dengue, transmise par le moustique-tigre, reste un enjeu majeur de santé publique dans les territoires ultramarins comme le précise le Parisien . En 2023, des dizaines de décès ont été recensés en Martinique et en Guadeloupe, témoignant de la gravité persistante de cette infection. Face à ce constat, la Haute Autorité de santé (HAS) recommande l'utilisation du vaccin Qdenga, du laboratoire japonais Takeda, afin de protéger les populations à risque.
Les recommandations de la HAS s'adressent principalement à deux groupes prioritaires :
- Les enfants et adolescents de 6 ans et plus ayant déjà été infectés par la dengue, pour éviter les risques de réinfections graves.
- Les adultes âgés de 17 à 60 ans présentant des comorbidités, telles que l'obésité, le diabète ou des maladies chroniques comme la drépanocytose.
Contrairement au vaccin précédent Dengvaxia, Qdenga offre une protection plus étendue contre les quatre sérotypes du virus. De plus, il ne présente pas le risque de facilitation de l'infection (ADE), qui avait contraint à limiter l’utilisation de Dengvaxia aux seules personnes ayant déjà eu la maladie.
Les données récentes montrent que Qdenga est mieux toléré et qu'il peut être administré à des personnes n’ayant jamais été exposées au virus, notamment les adultes à risque. En revanche, la HAS écarte pour le moment les plus de 60 ans, en raison d’un manque d'études sur cette tranche d’âge.
Les recommandations de la HAS s'adressent principalement à deux groupes prioritaires :
- Les enfants et adolescents de 6 ans et plus ayant déjà été infectés par la dengue, pour éviter les risques de réinfections graves.
- Les adultes âgés de 17 à 60 ans présentant des comorbidités, telles que l'obésité, le diabète ou des maladies chroniques comme la drépanocytose.
Contrairement au vaccin précédent Dengvaxia, Qdenga offre une protection plus étendue contre les quatre sérotypes du virus. De plus, il ne présente pas le risque de facilitation de l'infection (ADE), qui avait contraint à limiter l’utilisation de Dengvaxia aux seules personnes ayant déjà eu la maladie.
Les données récentes montrent que Qdenga est mieux toléré et qu'il peut être administré à des personnes n’ayant jamais été exposées au virus, notamment les adultes à risque. En revanche, la HAS écarte pour le moment les plus de 60 ans, en raison d’un manque d'études sur cette tranche d’âge.