Le président de la 13e chambre correctionnelle, Guillaume Daïeff, a souligné l'importance de la comparution personnelle de Maes, affirmant que le tribunal considère que ses excuses pour son absence ne sont pas justifiées.
Me Diane de Condé, l'avocate de Maes, a plaidé en faveur de la représentation du rappeur à son procès en son absence, citant le droit en sa faveur. Elle a affirmé que Maes n'a pas l'intention de fuir ses responsabilités et qu'un mandat d'arrêt n'est pas nécessaire. Elle a également fait valoir les raisons professionnelles qui ont retenu son client à Dubaï, notamment un "showcase" la veille de l'audience et des séances d'enregistrement en studio plus tard dans la semaine.
Cependant, la procureure s'est opposée à l'idée de juger l'affaire en l'absence de Maes, soulignant qu'il était au courant de la date de l'audience et que ses engagements professionnels ne justifiaient pas son absence. Conformément aux réquisitions du ministère public, le tribunal a émis un mandat d'arrêt en attendant le nouveau procès prévu en juin 2024.
Les accusations portées contre Maes remontent à 2018 lorsque le rappeur, âgé de 28 ans, aurait été impliqué dans des violences en réunion ayant causé six jours d'incapacité temporaire de travail à la victime. Les faits se sont produits à la sortie d'un studio à Paris.
Depuis l'incident, Maes a indemnisé la victime à qui il avait infligé des coups de poing au visage, bien que le montant de la transaction demeure confidentiel. La victime a, depuis, retiré sa plainte et n'a pas pris part aux poursuites judiciaires. Cependant, cela n'a pas mis fin aux procédures judiciaires contre le rappeur.
Maes, originaire de Villepinte, en Seine-Saint-Denis, est actuellement en liberté sans contrôle judiciaire. Il est prévu qu'il donne un concert à Paris, au sein de la salle de spectacle Bercy, le 16 février 2024.
Me Diane de Condé, l'avocate de Maes, a plaidé en faveur de la représentation du rappeur à son procès en son absence, citant le droit en sa faveur. Elle a affirmé que Maes n'a pas l'intention de fuir ses responsabilités et qu'un mandat d'arrêt n'est pas nécessaire. Elle a également fait valoir les raisons professionnelles qui ont retenu son client à Dubaï, notamment un "showcase" la veille de l'audience et des séances d'enregistrement en studio plus tard dans la semaine.
Cependant, la procureure s'est opposée à l'idée de juger l'affaire en l'absence de Maes, soulignant qu'il était au courant de la date de l'audience et que ses engagements professionnels ne justifiaient pas son absence. Conformément aux réquisitions du ministère public, le tribunal a émis un mandat d'arrêt en attendant le nouveau procès prévu en juin 2024.
Les accusations portées contre Maes remontent à 2018 lorsque le rappeur, âgé de 28 ans, aurait été impliqué dans des violences en réunion ayant causé six jours d'incapacité temporaire de travail à la victime. Les faits se sont produits à la sortie d'un studio à Paris.
Depuis l'incident, Maes a indemnisé la victime à qui il avait infligé des coups de poing au visage, bien que le montant de la transaction demeure confidentiel. La victime a, depuis, retiré sa plainte et n'a pas pris part aux poursuites judiciaires. Cependant, cela n'a pas mis fin aux procédures judiciaires contre le rappeur.
Maes, originaire de Villepinte, en Seine-Saint-Denis, est actuellement en liberté sans contrôle judiciaire. Il est prévu qu'il donne un concert à Paris, au sein de la salle de spectacle Bercy, le 16 février 2024.