Emmanuelle Gorlin, «Une belle aventure»
A peine 48 heures après l’élection de Miss Réunion 2010, Emmanuelle Gorlin, 1ère dauphine, resplendit de fraîcheur et de naturel. A 19 ans cette jolie brune aux yeux bleus d’1m74 est fière du parcours qu’elle a accompli. Dans quelques semaines, la Possessionnaise reprendra le chemin des études, au sein de son Ecole Supérieure d’Ingénieur dans le développement agroalimentaire intégré. Une tête bien pleine, dans un corps bien fait, voilà certainement les atouts qui ont permis à Emmanuelle de devenir 1ère dauphine.
Pourquoi avoir participé à Miss Réunion 2010?
Avec aplomb, Emmanuelle explique: «Je voulais vivre une nouvelle expérience qui soit enrichissante, qui me permette d’apprendre plus sur moi. J’avais besoin de me dépasser. C’est une aventure qui fait évoluer et grandir. Les castings, les premières séances photos, les interviews… C’était un véritable challenge que je souhaitais relever. Je suis quelqu’un qui s’investit beaucoup dans ses études pour apporter ses connaissances à La Réunion.
Comment se sont déroulées les semaines de préparation?
C’était fabuleux, notamment le voyage à Rodrigues qui restera l’un de mes meilleurs souvenirs. C’est à ce moment que l’on se rend compte de la chance qu’on a de découvrir une autre île, une nouvelle culture, et des gens extrêmement chaleureux. Avec les filles c’était génial, il y avait une superbe ambiance entre nous. On était toutes très proches, et les filles vont me manquer.
Et Laura Trèves…
(Elle rit). Les journées de répétition étaient très longues. C’était fatiguant, cela demandait beaucoup de concentration. Laura est très dure, et très exigeante, mais c’était nécessaire pour que l’on puisse produire un beau show. Elle nous faisait souvent la morale, et c’était toujours très motivant pour nous toutes. Je fais déjà de la danse, du coup j’étais un peu moins stressée. En réalité, ce qui m’inquiétait le plus c’était de parler devant le public. Je savais qu’à ce moment, je n’avais pas le droit à l’erreur. Mais la force du public était très motivante, et je me suis lâchée.
Vous attendiez-vous à cette place de 1ère dauphine?
Qu’est-ce que ce titre représente? J’ai mis toutes les chances de mon côté, j’ai essayé d’être jolie sur toutes les photos, et de donner le meilleur de moi-même. Je suis satisfaite de mes performances. Je me suis donnée à fond, mon objectif était de terminer dans les dauphines, et il est atteint. Aujourd’hui, cette écharpe de 1ère dauphine est importante. Je sais que je suis celle qui peut remplacer Florence Arginthe en cas de besoin, et c’est une responsabilité. Je remercie d’ailleurs tout ceux qui m’ont soutenue depuis le début.
Un petit mot pour Laura, 2ème dauphine?
C’est une fille très gentille et je suis ravie qu’elle soit 2ème dauphine. Je l’aurais aussi bien vu participer à Miss France. Elle avait de nombreux atouts pour faire valoir La Réunion.
Pourquoi avoir participé à Miss Réunion 2010?
Avec aplomb, Emmanuelle explique: «Je voulais vivre une nouvelle expérience qui soit enrichissante, qui me permette d’apprendre plus sur moi. J’avais besoin de me dépasser. C’est une aventure qui fait évoluer et grandir. Les castings, les premières séances photos, les interviews… C’était un véritable challenge que je souhaitais relever. Je suis quelqu’un qui s’investit beaucoup dans ses études pour apporter ses connaissances à La Réunion.
Comment se sont déroulées les semaines de préparation?
C’était fabuleux, notamment le voyage à Rodrigues qui restera l’un de mes meilleurs souvenirs. C’est à ce moment que l’on se rend compte de la chance qu’on a de découvrir une autre île, une nouvelle culture, et des gens extrêmement chaleureux. Avec les filles c’était génial, il y avait une superbe ambiance entre nous. On était toutes très proches, et les filles vont me manquer.
Et Laura Trèves…
(Elle rit). Les journées de répétition étaient très longues. C’était fatiguant, cela demandait beaucoup de concentration. Laura est très dure, et très exigeante, mais c’était nécessaire pour que l’on puisse produire un beau show. Elle nous faisait souvent la morale, et c’était toujours très motivant pour nous toutes. Je fais déjà de la danse, du coup j’étais un peu moins stressée. En réalité, ce qui m’inquiétait le plus c’était de parler devant le public. Je savais qu’à ce moment, je n’avais pas le droit à l’erreur. Mais la force du public était très motivante, et je me suis lâchée.
Vous attendiez-vous à cette place de 1ère dauphine?
Qu’est-ce que ce titre représente? J’ai mis toutes les chances de mon côté, j’ai essayé d’être jolie sur toutes les photos, et de donner le meilleur de moi-même. Je suis satisfaite de mes performances. Je me suis donnée à fond, mon objectif était de terminer dans les dauphines, et il est atteint. Aujourd’hui, cette écharpe de 1ère dauphine est importante. Je sais que je suis celle qui peut remplacer Florence Arginthe en cas de besoin, et c’est une responsabilité. Je remercie d’ailleurs tout ceux qui m’ont soutenue depuis le début.
Un petit mot pour Laura, 2ème dauphine?
C’est une fille très gentille et je suis ravie qu’elle soit 2ème dauphine. Je l’aurais aussi bien vu participer à Miss France. Elle avait de nombreux atouts pour faire valoir La Réunion.
Laura Hoareau, «Je voulais porter la robe de mariée
Au lendemain de son élection, Laura n’est que sourire… Elle rayonne du haut de ses 22 ans et de son 1m71, ses yeux bleus sont plus transparents que jamais. La Dionysienne, en 1ère année de Master Management, a encore du mal à réaliser le magnifique parcours qu’elle vient d’accomplir lors de cette édition Miss Réunion. Ses deux grands frères, Manu et Christophe, sont paraît-il, très fiers de leur petite sœur, et il y a de quoi…
Pourquoi avez-vous tenté cette aventure de Miss Réunion?
Laura tout sourire, très posée répond tout simplement… «Honnêtement on m’a beaucoup encouragée à me présenter. Ma famille, bien entendu, m’a poussée mais aussi les clients sur mon lieu de travail (ndlr: Laura a un job d’hôtesse de caisse dans un supermarché qui lui permet de financer ses études). Et puis, comme je ne supporte plus ces images dévalorisantes que véhiculent parfois les médias sur La Réunion, je voulais faire quelque chose.
Comment se sont déroulées ces semaines de préparation ?
Véritablement j’ai été très surprise par l’entente qui régnait au sein du groupe. Il y avait une véritable cohésion. Et puis il y a eu ce voyage à Rodrigues qui nous a permis de mieux nous connaître. Il n’y avait pas un esprit de compétition, mais plutôt un esprit d’aventure. Ensemble nous avons vécu la fatigue le stress, l’émotion, les rires…
Et Laura Trèves, la chorégraphe tant redoutée?
Laura Hoareau éclate de rire. «J’adore cette femme. J’aime les femmes de caractère… Quelque part, je suis contente de ne pas faire Miss France, car son exigence doit être terrible là-bas!
Vous sembliez très à l’aise lors du show, est-ce une impression ?
Je suis quelqu’un de nature stressée, mais paradoxalement je n’étais pas stressée ce soir-là. Ma seule crainte était sur les deux dernières chorégraphies car avec le système des éliminations, nous devions maîtriser toutes les combinaisons de placement… Et j’ai eu beaucoup de plaisir à faire ce show.
Cette place de 2ème dauphine vous convient-elle ?
Franchement j’espérais être dans les 5, car je voulais porter la robe de mariée. C’était mon objectif, alors être dauphine c’est merveilleux. Dans ma famille et mes amis, certains espéraient un peu plus… En attendant je souhaiterais que cela m’ouvre des portes dans le monde de la mode ou de la publicité.
Un petit mot pour Florence Arginthe et pour Emmanuelle Gorlin?
Florence mérite d’être Miss. Dans notre groupe, c’était elle qui avait cela comme réel objectif… Surtout qu’elle continue à garder la tête froide… Quant à Emmanuelle, c’est quelqu’un de super sympa. Elle donne beaucoup de conseils et est très drôle…Elle est simple et est une très belle 1ère dauphine…
Pourquoi avez-vous tenté cette aventure de Miss Réunion?
Laura tout sourire, très posée répond tout simplement… «Honnêtement on m’a beaucoup encouragée à me présenter. Ma famille, bien entendu, m’a poussée mais aussi les clients sur mon lieu de travail (ndlr: Laura a un job d’hôtesse de caisse dans un supermarché qui lui permet de financer ses études). Et puis, comme je ne supporte plus ces images dévalorisantes que véhiculent parfois les médias sur La Réunion, je voulais faire quelque chose.
Comment se sont déroulées ces semaines de préparation ?
Véritablement j’ai été très surprise par l’entente qui régnait au sein du groupe. Il y avait une véritable cohésion. Et puis il y a eu ce voyage à Rodrigues qui nous a permis de mieux nous connaître. Il n’y avait pas un esprit de compétition, mais plutôt un esprit d’aventure. Ensemble nous avons vécu la fatigue le stress, l’émotion, les rires…
Et Laura Trèves, la chorégraphe tant redoutée?
Laura Hoareau éclate de rire. «J’adore cette femme. J’aime les femmes de caractère… Quelque part, je suis contente de ne pas faire Miss France, car son exigence doit être terrible là-bas!
Vous sembliez très à l’aise lors du show, est-ce une impression ?
Je suis quelqu’un de nature stressée, mais paradoxalement je n’étais pas stressée ce soir-là. Ma seule crainte était sur les deux dernières chorégraphies car avec le système des éliminations, nous devions maîtriser toutes les combinaisons de placement… Et j’ai eu beaucoup de plaisir à faire ce show.
Cette place de 2ème dauphine vous convient-elle ?
Franchement j’espérais être dans les 5, car je voulais porter la robe de mariée. C’était mon objectif, alors être dauphine c’est merveilleux. Dans ma famille et mes amis, certains espéraient un peu plus… En attendant je souhaiterais que cela m’ouvre des portes dans le monde de la mode ou de la publicité.
Un petit mot pour Florence Arginthe et pour Emmanuelle Gorlin?
Florence mérite d’être Miss. Dans notre groupe, c’était elle qui avait cela comme réel objectif… Surtout qu’elle continue à garder la tête froide… Quant à Emmanuelle, c’est quelqu’un de super sympa. Elle donne beaucoup de conseils et est très drôle…Elle est simple et est une très belle 1ère dauphine…