Aujourd'hui Océane est passionnée par le chant, la danse , la photographie. Si elle voit la vie en rose, cela n'a pas toujours été le cas. Confrontée à la mort d'une amie à l'adolescence, elle a sombré. La Saint Joséphoise raconte ce deuil impossible, cette injustice terrible qu'elle a eu beaucoup de mal à accepter.
Elle avait 15 ans. Océane livre son récit : " j'avais une amie, que je connaissais depuis la maternelle, qui s'est suicidée. Je me souviens avoir été dévastée. Je me suis posée énormément de questions ". Océane va alors aller très mal et s'enfoncer dans une spirale infernale.
Elle poursuit son témoignage : " J'ai moi même essayé d'attenter à ma vie 2 mois plus tard. J'avais accumulé tellement de pression que j'ai fait une forme de dépression. La dépression juvénile est à mon sens encore trop peu prise au sérieux. Il existe une réelle pression qui pèse sur les jeunes, qui pousse maintenant certains de nos lycéens à prendre des antidépresseurs ou d'autres produits afin d'atténuer leur souffrance ".
Elle avait 15 ans. Océane livre son récit : " j'avais une amie, que je connaissais depuis la maternelle, qui s'est suicidée. Je me souviens avoir été dévastée. Je me suis posée énormément de questions ". Océane va alors aller très mal et s'enfoncer dans une spirale infernale.
Elle poursuit son témoignage : " J'ai moi même essayé d'attenter à ma vie 2 mois plus tard. J'avais accumulé tellement de pression que j'ai fait une forme de dépression. La dépression juvénile est à mon sens encore trop peu prise au sérieux. Il existe une réelle pression qui pèse sur les jeunes, qui pousse maintenant certains de nos lycéens à prendre des antidépresseurs ou d'autres produits afin d'atténuer leur souffrance ".
Océane insiste sur le poids de la pression scolaire, la pression parentale, la pression sociétale qui selon elle sont sous estimés avec le lot de souffrance infligé aux jeunes.
Elle insiste : " Aujourd'hui tout prend de plus en plus d'ampleur, c'est à dire qu'un échec peut signifier rater sa vie pour certains jeunes, ce qui engendre des risques de dépression. Ma volonté de devenir éducatrice de Jeunes Enfants tient en cela, c'est à dire, travailler avec les parents et les familles afin d'atténuer cette potentielle pression qu'il pourrait y avoir depuis l'enfance. Il faut travailler avec les enfants afin de dédramatiser les échecs et les erreurs qui sont choses courantes dans la vie. Étant moi-même passée par là, je souhaite apporter mon soutien aux jeunes qui souffrent de dépression juvénile et témoigner que l'on peut s'en sortir.
Pour finir, je souhaite remercier ma professeure de danse du lycée qui m'a inconsciemment aidée à reprendre possession de mon corps ce qui m'a progressivement permis de sortir de ma dépression ".
Elle insiste : " Aujourd'hui tout prend de plus en plus d'ampleur, c'est à dire qu'un échec peut signifier rater sa vie pour certains jeunes, ce qui engendre des risques de dépression. Ma volonté de devenir éducatrice de Jeunes Enfants tient en cela, c'est à dire, travailler avec les parents et les familles afin d'atténuer cette potentielle pression qu'il pourrait y avoir depuis l'enfance. Il faut travailler avec les enfants afin de dédramatiser les échecs et les erreurs qui sont choses courantes dans la vie. Étant moi-même passée par là, je souhaite apporter mon soutien aux jeunes qui souffrent de dépression juvénile et témoigner que l'on peut s'en sortir.
Pour finir, je souhaite remercier ma professeure de danse du lycée qui m'a inconsciemment aidée à reprendre possession de mon corps ce qui m'a progressivement permis de sortir de ma dépression ".