10 ans après la première édition organisée en Guyane, les EGM-OM se réunissent de nouveau afin de mener une réflexion dans le but d’affirmer une politique favorable au multilinguisme. Pour cela, des délégations venues des Outre-mer se sont déplacées : Guadeloupe, Guyane, Martinique, Mayotte, Polynésie Française et Wallis et Futuna.
Il y a en tout 56 langues parlées dans les Outre-mer. Il est alors important de trouver un équilibre entre ces langues régionales et le français dans l’éducation, l’espace public et la vie sociale et culturelle. C’est bien le but de ces 3 jours d’échanges avec les différents acteurs des domaines concernés.
"Une langue vivante est un peuple. Faire mourir une langue c’est faire disparaître une individualité de la famille des nations, c’est détruire un système d’entendement à caractère national. Toutes les langues ont leur histoire singulière, une culture, des idées, des croyances et ont transmis aux générations. Elles doivent toutes vivre. Empêcher la langue, c’est rendre l’identité impossible."
Huguette BELLO, Présidente de la Région Réunion
Il y a en tout 56 langues parlées dans les Outre-mer. Il est alors important de trouver un équilibre entre ces langues régionales et le français dans l’éducation, l’espace public et la vie sociale et culturelle. C’est bien le but de ces 3 jours d’échanges avec les différents acteurs des domaines concernés.
"Une langue vivante est un peuple. Faire mourir une langue c’est faire disparaître une individualité de la famille des nations, c’est détruire un système d’entendement à caractère national. Toutes les langues ont leur histoire singulière, une culture, des idées, des croyances et ont transmis aux générations. Elles doivent toutes vivre. Empêcher la langue, c’est rendre l’identité impossible."
Huguette BELLO, Présidente de la Région Réunion