Image d'illustration Pexels
Le drame a failli se concrétiser quand Michel, le kinésithérapeute visé, a été presque renversé par une voiture alors qu'il traversait la rue. L'incident, survenu alors qu'il portait encore son casque de scooter, lui a probablement sauvé la vie.
Michel rapporte que la voiture a accéléré brusquement après un geste de la main lui indiquant qu'il pouvait passer. Immédiatement, il a pensé à Sylvain, un ancien patient dont le comportement étrange et les menaces antérieures l'avaient déjà alarmé.
Les investigations ont révélé que Sylvain, le professeur de musique, mijotait sa vengeance depuis une décennie. Placé sous surveillance, il a été enregistré exprimant son désir de représailles : "Il m'a brisé la nuque. Je veux qu'il paye".
Selon les enquêteurs, Sylvain aurait recruté une équipe de criminels géorgiens par l'intermédiaire de sa compagne et de son beau-père pour neutraliser le kinésithérapeute, allant jusqu'à planifier un attentat à sa vie afin de l'empêcher de pratiquer sa profession.
Cependant, devant la cour, l'accusé maintient qu'il n'a jamais eu l'intention de tuer Michel. Le procès, qui attire l'attention des médias et du public pour ses éléments d'une vendetta minutieusement préparée, continue de dévoiler les profondeurs de la rancœur d'un homme convaincu d'avoir été injustement diminué par celui en qui il avait placé sa confiance pour sa santé.
Michel rapporte que la voiture a accéléré brusquement après un geste de la main lui indiquant qu'il pouvait passer. Immédiatement, il a pensé à Sylvain, un ancien patient dont le comportement étrange et les menaces antérieures l'avaient déjà alarmé.
Les investigations ont révélé que Sylvain, le professeur de musique, mijotait sa vengeance depuis une décennie. Placé sous surveillance, il a été enregistré exprimant son désir de représailles : "Il m'a brisé la nuque. Je veux qu'il paye".
Selon les enquêteurs, Sylvain aurait recruté une équipe de criminels géorgiens par l'intermédiaire de sa compagne et de son beau-père pour neutraliser le kinésithérapeute, allant jusqu'à planifier un attentat à sa vie afin de l'empêcher de pratiquer sa profession.
Cependant, devant la cour, l'accusé maintient qu'il n'a jamais eu l'intention de tuer Michel. Le procès, qui attire l'attention des médias et du public pour ses éléments d'une vendetta minutieusement préparée, continue de dévoiler les profondeurs de la rancœur d'un homme convaincu d'avoir été injustement diminué par celui en qui il avait placé sa confiance pour sa santé.
