Le jeune homme avait 26 ans quand les faits se sont produits. Il a été établi que l'Espagnol a étranglé sa mère puis a profané son cadavre. Il est accusé notamment d'avoir dépecé le corps puis d'avoir mangé des morceaux de chair, et ce n'est pas tout !
Le tribunal est revenu sur les circonstances du crime. Après avoir assassiné sa mère, 69 ans, suite à une dispute, il aurait trainé le corps de la pauvre femme dans sa chambre. Méthodiquement il aurait découpé le corps avec une scie et deux couteaux de cuisine. Pour faire disparaitre le corps démembré, il aurait mangé pour se nourrir des morceaux crus ou cuits.
L'horreur ne s'arrête pas là, il aurait mis d'autres parties du corps, dans des boites en plastique placées dans le réfrigérateur. Enfin des morceaux du cadavre de sa mère auraient été jetés à la poubelle dans des sacs en plastique et d'autres auraient fini dans la gamelle du chien !
Pour ces atrocités qui se seraient déroulées pendant près d'un mois, le Madrilène a été condamné à 15 ans de prison. Le tribunal a jugé qu'il était en pleine possession de ses facultés mentales au moment des faits. Alberto Sanchez Gomez était connu défavorablement déjà des services de police pour des affaires de drogue ou pour mauvais traitements.
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Le tribunal est revenu sur les circonstances du crime. Après avoir assassiné sa mère, 69 ans, suite à une dispute, il aurait trainé le corps de la pauvre femme dans sa chambre. Méthodiquement il aurait découpé le corps avec une scie et deux couteaux de cuisine. Pour faire disparaitre le corps démembré, il aurait mangé pour se nourrir des morceaux crus ou cuits.
L'horreur ne s'arrête pas là, il aurait mis d'autres parties du corps, dans des boites en plastique placées dans le réfrigérateur. Enfin des morceaux du cadavre de sa mère auraient été jetés à la poubelle dans des sacs en plastique et d'autres auraient fini dans la gamelle du chien !
Pour ces atrocités qui se seraient déroulées pendant près d'un mois, le Madrilène a été condamné à 15 ans de prison. Le tribunal a jugé qu'il était en pleine possession de ses facultés mentales au moment des faits. Alberto Sanchez Gomez était connu défavorablement déjà des services de police pour des affaires de drogue ou pour mauvais traitements.
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