Un acte pour dénoncer des conditions de vie précaires
Après plusieurs heures de captivité, elle a finalement relâché son otage sans qu'aucun incident ne survienne, avant de se rendre aux gendarmes. Les informations relayées par Actu Toulouse et La Dépêche du Midi via Ouest France indiquent que la septuagénaire aurait utilisé un pistolet factice lors de cette prise d'otage.
En milieu de journée, la mise en cause a libéré la femme de ménage et a ensuite décidé de se rendre volontairement aux autorités. Elle a été placée en garde à vue pour les chefs d'accusation de "séquestration" et "violences avec arme".
Selon les informations fournies par le parquet de Toulouse à Actu Toulouse, la septuagénaire aurait agi de la sorte pour dénoncer ses conditions de vie difficiles. Résidant dans un logement appartenant à un bailleur social, elle affirme subir des infiltrations et des dégâts des eaux non réparés. En séquestrant la femme de ménage responsable de l'entretien des parties communes, elle espérait ainsi contraindre le bailleur à effectuer les travaux nécessaires en le faisant intervenir.
Interrogée par La Dépêche du Midi, la retraitée a confirmé ces informations, déclarant : "Je n'avais plus le choix. J'étais obligée de passer par là pour me faire entendre !" Elle a mentionné que les murs étaient imprégnés d'eau, obligeant ainsi à disposer des bassines sur le sol carrelé pour prévenir toute aggravation de la situation.. Elle a également ajouté avoir subi une blessure au dos suite à une lourde chute consécutive à une nouvelle infiltration d'eau en février dernier.
En milieu de journée, la mise en cause a libéré la femme de ménage et a ensuite décidé de se rendre volontairement aux autorités. Elle a été placée en garde à vue pour les chefs d'accusation de "séquestration" et "violences avec arme".
Selon les informations fournies par le parquet de Toulouse à Actu Toulouse, la septuagénaire aurait agi de la sorte pour dénoncer ses conditions de vie difficiles. Résidant dans un logement appartenant à un bailleur social, elle affirme subir des infiltrations et des dégâts des eaux non réparés. En séquestrant la femme de ménage responsable de l'entretien des parties communes, elle espérait ainsi contraindre le bailleur à effectuer les travaux nécessaires en le faisant intervenir.
Interrogée par La Dépêche du Midi, la retraitée a confirmé ces informations, déclarant : "Je n'avais plus le choix. J'étais obligée de passer par là pour me faire entendre !" Elle a mentionné que les murs étaient imprégnés d'eau, obligeant ainsi à disposer des bassines sur le sol carrelé pour prévenir toute aggravation de la situation.. Elle a également ajouté avoir subi une blessure au dos suite à une lourde chute consécutive à une nouvelle infiltration d'eau en février dernier.