Ce vendredi 1er février, le Bisik annonçait sa nouvelle saison 2019 devant un public toujours plus nombreux et avec un enthousiasme renouvelé. L’occasion de retrouvailles heureuses et pour l’équipe du Bisik de vous présenter nos meilleurs vœux musicaux, artistiques et culturels, de vous présenter aussi nos projets pour cette année qui commence mais surtout de présenter le programme, qui vous le savez maintenant, s’annonce riche en découvertes, éclectiques toujours et plus originales que jamais!
Une rentrée culturelle en présence de certains des artistes qui nous feront l’honneur de jouer sur la scène du Bisik lors du premier semestre 2019, d’une première partie inattendue et un quatuor séduisant…
C’est en effet Alejo Santos, clown-jongleur colombien de passage à La Réunion, qui a ouvert le bal de cette soirée lumineuse.
Cet artiste extravagant qui joue du diabolo depuis l’âge de 14 ans et fait partie de la compagnie sud-américaine Cirkonexion, a enchaîné les performances avec dextérité et humour devant des spectateurs qui ont, le temps de quelques pirouettes, retrouvée leur âme d’enfant…
C’est en effet Alejo Santos, clown-jongleur colombien de passage à La Réunion, qui a ouvert le bal de cette soirée lumineuse.
Cet artiste extravagant qui joue du diabolo depuis l’âge de 14 ans et fait partie de la compagnie sud-américaine Cirkonexion, a enchaîné les performances avec dextérité et humour devant des spectateurs qui ont, le temps de quelques pirouettes, retrouvée leur âme d’enfant…
Une première respiration dans cette chaude soirée d’été avant de s’étourdir dans le chant irrésistible des Bringelles qui réinventent le maloya avec talent, créativité et autodérision…
Ces filles-là poussent dans tous les chants : en chœur, en solo, en kayanm-roulèr-bobre-triangle. Elles enracinent à tour de voix leurs mélodies.
Et tout naturellement le public se laisse rapidement emporter au fil des notes par la spontanéité, l’enthousiasme et le rire communicatif de ces femmes.
Ces filles-là poussent dans tous les chants : en chœur, en solo, en kayanm-roulèr-bobre-triangle. Elles enracinent à tour de voix leurs mélodies.
Et tout naturellement le public se laisse rapidement emporter au fil des notes par la spontanéité, l’enthousiasme et le rire communicatif de ces femmes.
Mélanie Bourire, Marie Lanfroy, Magali Ines et Maya Pounia s’approprient les musiques traditionnelles du monde, issues de la tradition orale (maloya - créole, chant bulgare, chanson française, arabes…) parfois tombés dans l’oubli.
Elles s’inspirent de ces mélodies puissantes et puisent dans leurs propres compositions pour créer un répertoire revisité dont la voix est l’élément central. Les voix se susurrent, se mêlent sans s’emmêler, s’enlacent sans se lasser, tournent et détournent en dentelle un univers singulier.
Elles s’inspirent de ces mélodies puissantes et puisent dans leurs propres compositions pour créer un répertoire revisité dont la voix est l’élément central. Les voix se susurrent, se mêlent sans s’emmêler, s’enlacent sans se lasser, tournent et détournent en dentelle un univers singulier.
Chaque morceau dégage une énergie phénoménale et les harmonies prennent parfois des allures de cacophonie incantatoire qui emballe la salle.
Le public ne s’y est pas trompé, les Bringelles offrent avec une générosité sans limite une musique teintée du pétillant et de la fraîcheur de leurs personnalités. Une volonté d’originalité et de plaisir de se retrouver afin de partager… tout simplement.
Mission accomplie pour ces enfants du maloya qui ont illuminé cette soirée de lancement avec une grande générosité!
Merci à tous d’être présents et à très bientôt au Bisik!
Le public ne s’y est pas trompé, les Bringelles offrent avec une générosité sans limite une musique teintée du pétillant et de la fraîcheur de leurs personnalités. Une volonté d’originalité et de plaisir de se retrouver afin de partager… tout simplement.
Mission accomplie pour ces enfants du maloya qui ont illuminé cette soirée de lancement avec une grande générosité!
Merci à tous d’être présents et à très bientôt au Bisik!