Lettre aux dépositaires - à ceux qui vendent les journaux si vous préférez -, coup de fil insultants à celles et à ceux qui osent poser en photo pour 7 Magazine _ on peut en faire témoigner beaucoup et non des moindres-, boycott de celles et ceux qui y sont, diffamations téléphoniques (enregristrées) contre 7 Magazine, et en particulier votre serviteur, grande braderie sur les tarifs des annonces publicitaires (jusqu'à moins 80%!), menaces envers ceux qui souhaiteraient communiquer dans notre support, certains de nos "concurrents", les "meilleurs" de la place assurément, se déchaînent ces derniers temps au vu de la chute vertigineuse de leurs ventes. Ce n'est plus de la concurrence, c'est de la haine !
Nous, on regarde d'un air amusé ce qui se passe dans l'univers impitoyable de la presse locale et on avance "ti pas ti pas". A force de cracher sur le voisin, la salive se fait rare et la plume quasiment inexistante. Le vide abyssal en quelque sorte, auquel, par défaut, s'étaient habitués certains lecteurs. Les choses ont changé avec l'arrivée de 7 Magazine.
Nous faisons notre bonhomme de chemin, nous montrons notre professionnalisme en la matière, nous ne jouons pas dans cette cour de guerre inutile et stérile, nous ne voulons surtout pas être comparé à qui que ce soit, car cela nous porterait préjudice. Les chiens peuvent continuer à aboyer (ouah ! ouah !), la caravane passe. Le juge de paix, c'est le lecteur mes amis!
Nous, on regarde d'un air amusé ce qui se passe dans l'univers impitoyable de la presse locale et on avance "ti pas ti pas". A force de cracher sur le voisin, la salive se fait rare et la plume quasiment inexistante. Le vide abyssal en quelque sorte, auquel, par défaut, s'étaient habitués certains lecteurs. Les choses ont changé avec l'arrivée de 7 Magazine.
Nous faisons notre bonhomme de chemin, nous montrons notre professionnalisme en la matière, nous ne jouons pas dans cette cour de guerre inutile et stérile, nous ne voulons surtout pas être comparé à qui que ce soit, car cela nous porterait préjudice. Les chiens peuvent continuer à aboyer (ouah ! ouah !), la caravane passe. Le juge de paix, c'est le lecteur mes amis!