Nassimah Dindar, 57 ans, préside le Conseil départemental depuis le 1er avril 2004. Une première consécration pour celle qui a débuté sa carrière politique quelques années auparavant. Conseillère régionale en 1998 sur la liste de Margie Sudre, elle prend du galon au sein de sa famille politique en devenant secrétaire départementale adjointe du RPR. Elue ce dimanche 24 septembre 2017, il s’agit ici du premier mandat national de Nassimah Dindar après ses multiples tentatives aux législatives de 2007 et de 2012.
Jean-Louis Lagourgue, 70 ans, découvrira lui aussi la Haute assemblée. Il est élu pour la première fois maire divers-droite de Sainte-Marie lors de l’élection anticipée de 1990 et a toujours réussi à se faire réélire. Il a été réélu maire de Sainte-Marie en mai 2014 pour la cinquième fois. L’homme politique cumule par ailleurs les mandats locaux au sein des deux assemblées, générale et régionale. Conseiller général de Sainte-Marie, il est également vice-président du Conseil Régional depuis 2010. Pourtant candidat en 2002 à une élection nationale - les législatives dans la 5e circonscription - il finit par se désister au second tour face au candidat de l’UMP Bertho Audifax.
La moins connue du grand public est sans conteste Viviane Malet. Discrète 2ème adjointe de Michel Fontaine en charge des Affaires sociales de la commune de Saint-Pierre, elle remporte en mars 2015 le canton n°20 aux élections cantonales. Une victoire qui lui permet de figurer en bonne place au Palais de la Source. Elle y occupe la fonction de 2ème vice-présidente en charge de l’Insertion. Elle découvrira elle aussi la fonction de parlementaire dans les jours qui viennent. La confiance que lui accorde le maire de Saint-Pierre, ainsi que les élus de la droite, est à ce point important que son nom est devenu une évidence lorsqu’il a fallu apaiser les tensions au sein du très politisé Centre de gestion. Un organisme en charge de la carrière des agents territoriaux.
A l’image des deux premiers sénateurs arrivés en tête des suffrages, Michel Dennemont, 68 ans, infirmier libéral récemment à la retraite, a pour lui une longue expérience en tant qu’élu local. Elu maire lors de le l’élection anticipée du 31 mai 1987, il est réélu sans discontinuer en 1989, 1995, 2001, 2008 et en 2014. C'est également la première fois qu’il remporte une élection à l’échelle nationale. Après avoir tenté les législatives en 2007, le maire des Avirons savait également qu’en cas d’élection justement, il devrait rendre son écharpe. Ce sera chose faite lors de la plus proche délibération du conseil municipal. Son 1er adjoint, René Mondon, occupera alors le devant de la scène.
Jean-Louis Lagourgue, 70 ans, découvrira lui aussi la Haute assemblée. Il est élu pour la première fois maire divers-droite de Sainte-Marie lors de l’élection anticipée de 1990 et a toujours réussi à se faire réélire. Il a été réélu maire de Sainte-Marie en mai 2014 pour la cinquième fois. L’homme politique cumule par ailleurs les mandats locaux au sein des deux assemblées, générale et régionale. Conseiller général de Sainte-Marie, il est également vice-président du Conseil Régional depuis 2010. Pourtant candidat en 2002 à une élection nationale - les législatives dans la 5e circonscription - il finit par se désister au second tour face au candidat de l’UMP Bertho Audifax.
La moins connue du grand public est sans conteste Viviane Malet. Discrète 2ème adjointe de Michel Fontaine en charge des Affaires sociales de la commune de Saint-Pierre, elle remporte en mars 2015 le canton n°20 aux élections cantonales. Une victoire qui lui permet de figurer en bonne place au Palais de la Source. Elle y occupe la fonction de 2ème vice-présidente en charge de l’Insertion. Elle découvrira elle aussi la fonction de parlementaire dans les jours qui viennent. La confiance que lui accorde le maire de Saint-Pierre, ainsi que les élus de la droite, est à ce point important que son nom est devenu une évidence lorsqu’il a fallu apaiser les tensions au sein du très politisé Centre de gestion. Un organisme en charge de la carrière des agents territoriaux.
A l’image des deux premiers sénateurs arrivés en tête des suffrages, Michel Dennemont, 68 ans, infirmier libéral récemment à la retraite, a pour lui une longue expérience en tant qu’élu local. Elu maire lors de le l’élection anticipée du 31 mai 1987, il est réélu sans discontinuer en 1989, 1995, 2001, 2008 et en 2014. C'est également la première fois qu’il remporte une élection à l’échelle nationale. Après avoir tenté les législatives en 2007, le maire des Avirons savait également qu’en cas d’élection justement, il devrait rendre son écharpe. Ce sera chose faite lors de la plus proche délibération du conseil municipal. Son 1er adjoint, René Mondon, occupera alors le devant de la scène.