En licence science pour la santé à l’Université du Tampon, Emilie Dorval, 19 ans, est véritablement passionnée par cette problématique et compte bien travailler dans ce secteur. Scientifique certes, la jolie brune aime également s'échapper et affectionne les histoires fantasmagoriques.
Si Emilie a choisi de venir poser au Studio, c'est précisément pour délivrer un message très terre à terre. La jeune femme a souffert, a pu se faire du mal et aujourd'hui accepte de raconter... Et ceux qu'elle pointe du doigt avant de commencer son récit ce sont les réseaux sociaux, qui délivrent une fausse image de la vie tout en perfection.
Avec un bon sens évident, elle affirme: " La vie est imparfaite ce qui engendre défauts et de complexes. On ne peut pas être toujours avec une peau lisse, sans boutons, sans vergetures, sans bourrelets. Les cicatrices de vie c’est un ensemble qui fait que l'on existe, que l'on est humain et pas un composé ”botoxé” sorti d’une clinique.Nous n'avons pas toujours le sourire parfait ni la position qui met tout en valeur. Il n’y a rien de pire que de se voir en photo et de se trouver jolie alors qu'en face du miroir on a l’impression d’être une tout autre personne ".
A l'adolescence Emilie a pu comme tant d'autres souffrir. Elle se remémore ses années collège et lycée: " j’ai découvert l’hypocrisie et la jalousie des gens envers moi. Peu importe à quel point tu es gentille, on se sert de toi on se moque de toi en te tirant vers le bas. J’ai appris de la pire des manière à me relever : je me suis scarifiée en espérant que ma douleur passerait et que tout rentrerait dans l’ordre ".
” On ne veut pas voir ça quand on regarde une jolie fille ”
Poor sortir de son "trou "qui comme elle le précise " que je m’étais moi même creusé", elle va tester les shootings photos. Si l'expérience lui permet de se découvrir, Emilie va aussi affronter le regard de certains photographes qui ont pu vouloir photoshoper ses cicatrices, affirmant : ” on ne veut pas voir ça quand on regarde une jolie fille ”. La jeune femme va alors refuser, et se tourner vers des personnes plus respectueuses. Avec le recul, elle tient à les remercier : " J’ai continué à faire des shootings photo avec des personnes plus respectueuses qui m’ont acceptée telle que je suis et qui m’ont fait avancer. J’ai appris à accepter mes cicatrices et mon corps malgré la critique. Aujourd’hui je les montre et je n’en ai plus honte. Je n’ai que 19 ans mais je suis déjà fière de la personne que je deviens ".
Si Emilie a choisi de venir poser au Studio, c'est précisément pour délivrer un message très terre à terre. La jeune femme a souffert, a pu se faire du mal et aujourd'hui accepte de raconter... Et ceux qu'elle pointe du doigt avant de commencer son récit ce sont les réseaux sociaux, qui délivrent une fausse image de la vie tout en perfection.
Avec un bon sens évident, elle affirme: " La vie est imparfaite ce qui engendre défauts et de complexes. On ne peut pas être toujours avec une peau lisse, sans boutons, sans vergetures, sans bourrelets. Les cicatrices de vie c’est un ensemble qui fait que l'on existe, que l'on est humain et pas un composé ”botoxé” sorti d’une clinique.Nous n'avons pas toujours le sourire parfait ni la position qui met tout en valeur. Il n’y a rien de pire que de se voir en photo et de se trouver jolie alors qu'en face du miroir on a l’impression d’être une tout autre personne ".
A l'adolescence Emilie a pu comme tant d'autres souffrir. Elle se remémore ses années collège et lycée: " j’ai découvert l’hypocrisie et la jalousie des gens envers moi. Peu importe à quel point tu es gentille, on se sert de toi on se moque de toi en te tirant vers le bas. J’ai appris de la pire des manière à me relever : je me suis scarifiée en espérant que ma douleur passerait et que tout rentrerait dans l’ordre ".
” On ne veut pas voir ça quand on regarde une jolie fille ”
Poor sortir de son "trou "qui comme elle le précise " que je m’étais moi même creusé", elle va tester les shootings photos. Si l'expérience lui permet de se découvrir, Emilie va aussi affronter le regard de certains photographes qui ont pu vouloir photoshoper ses cicatrices, affirmant : ” on ne veut pas voir ça quand on regarde une jolie fille ”. La jeune femme va alors refuser, et se tourner vers des personnes plus respectueuses. Avec le recul, elle tient à les remercier : " J’ai continué à faire des shootings photo avec des personnes plus respectueuses qui m’ont acceptée telle que je suis et qui m’ont fait avancer. J’ai appris à accepter mes cicatrices et mon corps malgré la critique. Aujourd’hui je les montre et je n’en ai plus honte. Je n’ai que 19 ans mais je suis déjà fière de la personne que je deviens ".