Voilà un titre qui fait rêver plus d’une, et il n’est pas interdit de rêver… Un titre qui fait aussi fantasmer les journalistes et les commentateurs de tous poils, et il n’est pas interdit de commenter à condition de s’y connaître et de faire preuve d’un minimum de respect.
Du tout et du n’importe quoi, c’est souvent le cas des soi-disant infos ou commentaires en tous genres. Et le plus souvent sous couvert d’anonymat, c’est tellement plus facile de dire ou d’écrire n’importe quoi, quand on se sent anonyme. C’est tellement facile de dénigrer ou de critiquer quand on n’a rien à faire ou qu’on aimerait être à la place de…
Même être candidate à Miss Réunion est devenu un titre selon certains. Quand un fait-divers concerne une candidate à Miss Réunion, en quoi son statut de candidate peut-il servir à la bonne information? Etre candidate à Miss Réunion est un honneur et un rêve réalisé, mais en aucun cas un critère sur lequel on peut s’appuyer pour parler d’une personne qui serait victime d’un fait-divers quel qu’il soit.
Parler du statut de candidate à Miss Réunion pour un acte condamnable commis par la personne concernée est légitime, mais en parler si cette dernière est une victime n’a aucun sens, aucun intérêt si ce n’est celui de «vendre du papier» comme on dit dans le jargon.
Pourquoi alors ne pas dire que la victime supposée est lycéenne dans telle classe de tel lycée, et qu’elle habite dans telle rue à tel numéro? Ah c’est vrai, le statut de lycéenne n’est pas suffisamment accrocheur… tandis que candidate à Miss Réunion…
En la matière, la prudence s’impose, de même que la préservation de la victime est une obligation déontologique. Certains font leur travail de manière professionnelle, d’autres abusent de leur soi-disant liberté d’expression pour balancer n’importe quoi. La divulgation d’informations susceptibles de nuire à une personne est punie par la loi, et il est dommage justement que les victimes de tels préjudices, à la radio, dans les journaux et magazines, sur les sites internet, n’attaquent pas en justice, elles gagneront à coup sûr.
La presse peut-elle tout se permettre? Voilà qui aurait fait un bon sujet de philo… Définitivement non, il y a des limites à ne pas franchir. A La Réunion, on balance, on divulgue, on diffame, comme si c’était un jeu, comme si c’était normal. Il est grand temps de ne plus hésiter et d’attaquer systématiquement en justice tout dysfonctionnement constaté. Il ne faut pas se satisfaire de quelques excuses et d’un démenti, il faut porter plainte. Il suffirait de quelques condamnations pour calmer les ardeurs de quelques-uns…
Etre candidate à Miss Réunion, et être Miss Réunion tout court, est un honneur et un rêve. Et Miss France comme Valérie Bègue, c’est le Graal… Il n’est pas interdit de rêver, et les candidates à Miss Réunion 2011 rêvent, elles sont dans 7 Magazine…
Du tout et du n’importe quoi, c’est souvent le cas des soi-disant infos ou commentaires en tous genres. Et le plus souvent sous couvert d’anonymat, c’est tellement plus facile de dire ou d’écrire n’importe quoi, quand on se sent anonyme. C’est tellement facile de dénigrer ou de critiquer quand on n’a rien à faire ou qu’on aimerait être à la place de…
Même être candidate à Miss Réunion est devenu un titre selon certains. Quand un fait-divers concerne une candidate à Miss Réunion, en quoi son statut de candidate peut-il servir à la bonne information? Etre candidate à Miss Réunion est un honneur et un rêve réalisé, mais en aucun cas un critère sur lequel on peut s’appuyer pour parler d’une personne qui serait victime d’un fait-divers quel qu’il soit.
Parler du statut de candidate à Miss Réunion pour un acte condamnable commis par la personne concernée est légitime, mais en parler si cette dernière est une victime n’a aucun sens, aucun intérêt si ce n’est celui de «vendre du papier» comme on dit dans le jargon.
Pourquoi alors ne pas dire que la victime supposée est lycéenne dans telle classe de tel lycée, et qu’elle habite dans telle rue à tel numéro? Ah c’est vrai, le statut de lycéenne n’est pas suffisamment accrocheur… tandis que candidate à Miss Réunion…
En la matière, la prudence s’impose, de même que la préservation de la victime est une obligation déontologique. Certains font leur travail de manière professionnelle, d’autres abusent de leur soi-disant liberté d’expression pour balancer n’importe quoi. La divulgation d’informations susceptibles de nuire à une personne est punie par la loi, et il est dommage justement que les victimes de tels préjudices, à la radio, dans les journaux et magazines, sur les sites internet, n’attaquent pas en justice, elles gagneront à coup sûr.
La presse peut-elle tout se permettre? Voilà qui aurait fait un bon sujet de philo… Définitivement non, il y a des limites à ne pas franchir. A La Réunion, on balance, on divulgue, on diffame, comme si c’était un jeu, comme si c’était normal. Il est grand temps de ne plus hésiter et d’attaquer systématiquement en justice tout dysfonctionnement constaté. Il ne faut pas se satisfaire de quelques excuses et d’un démenti, il faut porter plainte. Il suffirait de quelques condamnations pour calmer les ardeurs de quelques-uns…
Etre candidate à Miss Réunion, et être Miss Réunion tout court, est un honneur et un rêve. Et Miss France comme Valérie Bègue, c’est le Graal… Il n’est pas interdit de rêver, et les candidates à Miss Réunion 2011 rêvent, elles sont dans 7 Magazine…
