J’aurais pu parler de la Tunisie et de l’Egypte, l’histoire étant en marche dans ces deux pays où la rue a commandé. «La rue ne commande pas» avaient dit Nicolas Sarkozy et le gouvernement en 2010 à la suite des manifestations contre la réforme des retraites. Ben Ali et Moubarak sont tombés à cause de la rue, là-bas la révolution est devenue une réalité, j’y reviendrai dans un prochain édito.
Ce qui m’a interpellé récemment, c’est la multiplication des faits divers dans notre île et la résonance donnée par Radio Freedom à tous ces faits divers. Freedom est un phénomène, c’est un euphémisme que de le dire. Mais dès que des faits divers dramatiques surviennent, on se rend bien compte que la radio de Camille Sudre possède une bonne longueur d’avance.
Quand d‘autres radios se battent pour avoir plus de journalistes ou d’animateurs, pour être des radios «de proximité», Freedom donne la leçon. Là, tous les auditeurs sont des informateurs. Pas des journalistes, surtout pas, mais des personnes qui donnent des infos en temps réel. La preuve encore la semaine dernière avec notamment la découverte du corps du petit Mathieu quasiment en direct, avec commentaires des uns et des autres, pendant que Réunion 1ère Radio (on ne sait même plus comment l’appeler) et les autres radios étaient en dehors de cet événement vécu par les auditeurs de Freedom. Et sur la radio de Camille, ce phénomène n’est pas cantonné aux faits divers.
D’autres radios ont déjà essayé de faire du Freedom, aucune n’est parvenue à copier le modèle. Certains directeurs de radio ont crié haut et fort qu’ils ne feraient jamais de Freedom, certes, mais les résultats sont sans appel. Médiamétrie met Freedom très loin devant les autres, une situation qu’on ne retrouve nulle part ailleurs.
Vous entendrez souvent des gens vous dire qu’ils n’écoutent pas Freedom, surtout ne les croyez pas, le résultat d’audience de la radio est sans appel. La radio «traditionnelle» n’est plus d’actualité, c’est une évidence.
Le revers de la médaille, c’est, bien entendu, les dérapages, et il y en a eu. Des appels inutiles, des insultes en direct, des infos erronées, un Frédo Rivière motivé mais approximatif, des auditeurs (ceux qui ont des passe-droit) qui appellent sans cesse pour critiquer ou se plaindre, des animateur(trice)s qui se laissent prendre au jeu ou qui font du favoritisme, bref, c’est forcément le résultat malheureux d’une trop grande liberté de parole.
Modèle unique en France, Freedom n’a pas beaucoup de soucis à se faire avec l’arrivée de nouvelles radios. Même Freedom 2 ne fera pas d’ombre à sa grande sœur. Il faudra se lever de bonne heure pour aller titiller le leader, on en reparlera dans quelque temps. Avec le recul, on comprend mieux pourquoi, 20 ans plus tôt, certains ont voulu la mort de Télé Freedom…
Ce qui m’a interpellé récemment, c’est la multiplication des faits divers dans notre île et la résonance donnée par Radio Freedom à tous ces faits divers. Freedom est un phénomène, c’est un euphémisme que de le dire. Mais dès que des faits divers dramatiques surviennent, on se rend bien compte que la radio de Camille Sudre possède une bonne longueur d’avance.
Quand d‘autres radios se battent pour avoir plus de journalistes ou d’animateurs, pour être des radios «de proximité», Freedom donne la leçon. Là, tous les auditeurs sont des informateurs. Pas des journalistes, surtout pas, mais des personnes qui donnent des infos en temps réel. La preuve encore la semaine dernière avec notamment la découverte du corps du petit Mathieu quasiment en direct, avec commentaires des uns et des autres, pendant que Réunion 1ère Radio (on ne sait même plus comment l’appeler) et les autres radios étaient en dehors de cet événement vécu par les auditeurs de Freedom. Et sur la radio de Camille, ce phénomène n’est pas cantonné aux faits divers.
D’autres radios ont déjà essayé de faire du Freedom, aucune n’est parvenue à copier le modèle. Certains directeurs de radio ont crié haut et fort qu’ils ne feraient jamais de Freedom, certes, mais les résultats sont sans appel. Médiamétrie met Freedom très loin devant les autres, une situation qu’on ne retrouve nulle part ailleurs.
Vous entendrez souvent des gens vous dire qu’ils n’écoutent pas Freedom, surtout ne les croyez pas, le résultat d’audience de la radio est sans appel. La radio «traditionnelle» n’est plus d’actualité, c’est une évidence.
Le revers de la médaille, c’est, bien entendu, les dérapages, et il y en a eu. Des appels inutiles, des insultes en direct, des infos erronées, un Frédo Rivière motivé mais approximatif, des auditeurs (ceux qui ont des passe-droit) qui appellent sans cesse pour critiquer ou se plaindre, des animateur(trice)s qui se laissent prendre au jeu ou qui font du favoritisme, bref, c’est forcément le résultat malheureux d’une trop grande liberté de parole.
Modèle unique en France, Freedom n’a pas beaucoup de soucis à se faire avec l’arrivée de nouvelles radios. Même Freedom 2 ne fera pas d’ombre à sa grande sœur. Il faudra se lever de bonne heure pour aller titiller le leader, on en reparlera dans quelque temps. Avec le recul, on comprend mieux pourquoi, 20 ans plus tôt, certains ont voulu la mort de Télé Freedom…