On vit une époque formidable! Partout dans le monde, et même chez nous, les exemples d’intolérances se multiplient, ce qui forcément exaspère, provoque des tensions et des réactions conséquentes. Le monde est ainsi fait et personne ne pourra le changer malheureusement.
Quand plus de 300 femmes, de 13 à 80 ans -oui 80 ans!-, sont violées au Congo par des rebelles hutus et des miliciens congolais agissant sur ordre, on ne sait plus quoi penser de l’espèce humaine. On essaie d’imaginer le cauchemar vécu par ces femmes, on n’y parvient pas. L’intolérance conduit à la barbarie, ce n’est pas la première ni la dernière fois…
Quand un pasteur américain d’un groupuscule extrémiste menace de brûler en place publique un livre saint comme le Coran, c’est qu’il y a vraiment quelque chose qui ne tourne plus rond dans ce monde de plus en plus déréglé. Vouloir brûler un livre sacré, Coran, Bible, Torah ou autre, relève de la psychiatrie. L’intolérance conduit à la folie, ce n’est pas la première ni la dernière fois…
Quand les hauts responsables de deux peuples ennemis acceptent de se mettre autour d’une table pour discuter d’un processus de paix -je parle des Israéliens et des Palestiniens, sujet que j’ai abordé récemment dans cette même page-, on devrait applaudir des deux mains au lieu d’essayer de faire capoter ce processus par de nouveaux attentats. L’intolérance conduit à la violence gratuite, ce n’est pas la première ni la dernière fois…
On pourrait multiplier les exemples d’actes intolérants, il y en a tous les jours partout dans le monde, et ce même dans votre vie quotidienne, mais cela sert-il à quelque chose de les mettre en exergue? Non, mais en parler permet de mettre le doigt sur là où ça fait mal. Le monde ne va pas bien, et les problèmes sociaux et économiques n’arrangent pas les choses. La pauvreté conduit inéluctablement à l’intolérance, car il est difficile pour certains d’accepter sa situation par rapport à l’autre.
Y aura-t-il des jours meilleurs et un monde plus tolérant? La réponse appartient d’une part aux décideurs qui pourraient améliorer les choses par des décisions efficaces, et d’autre part à chaque individu qui doit se remettre en question et regarder l’autre, avec ses différences, avec compréhension et… tolérance. Je m’égare je sais, mais comme dit Victor Hugo «l’utopie est la vérité de demain»...
Quand plus de 300 femmes, de 13 à 80 ans -oui 80 ans!-, sont violées au Congo par des rebelles hutus et des miliciens congolais agissant sur ordre, on ne sait plus quoi penser de l’espèce humaine. On essaie d’imaginer le cauchemar vécu par ces femmes, on n’y parvient pas. L’intolérance conduit à la barbarie, ce n’est pas la première ni la dernière fois…
Quand un pasteur américain d’un groupuscule extrémiste menace de brûler en place publique un livre saint comme le Coran, c’est qu’il y a vraiment quelque chose qui ne tourne plus rond dans ce monde de plus en plus déréglé. Vouloir brûler un livre sacré, Coran, Bible, Torah ou autre, relève de la psychiatrie. L’intolérance conduit à la folie, ce n’est pas la première ni la dernière fois…
Quand les hauts responsables de deux peuples ennemis acceptent de se mettre autour d’une table pour discuter d’un processus de paix -je parle des Israéliens et des Palestiniens, sujet que j’ai abordé récemment dans cette même page-, on devrait applaudir des deux mains au lieu d’essayer de faire capoter ce processus par de nouveaux attentats. L’intolérance conduit à la violence gratuite, ce n’est pas la première ni la dernière fois…
On pourrait multiplier les exemples d’actes intolérants, il y en a tous les jours partout dans le monde, et ce même dans votre vie quotidienne, mais cela sert-il à quelque chose de les mettre en exergue? Non, mais en parler permet de mettre le doigt sur là où ça fait mal. Le monde ne va pas bien, et les problèmes sociaux et économiques n’arrangent pas les choses. La pauvreté conduit inéluctablement à l’intolérance, car il est difficile pour certains d’accepter sa situation par rapport à l’autre.
Y aura-t-il des jours meilleurs et un monde plus tolérant? La réponse appartient d’une part aux décideurs qui pourraient améliorer les choses par des décisions efficaces, et d’autre part à chaque individu qui doit se remettre en question et regarder l’autre, avec ses différences, avec compréhension et… tolérance. Je m’égare je sais, mais comme dit Victor Hugo «l’utopie est la vérité de demain»...