Coupable ou pas coupable? A-t-il violé ou était-elle consentante? Le tribunal répondra à ces questions essentielles qui permettront d’y voir un peu plus clair sur la véracité des faits reprochés à Dominique Strauss-Kahn. Mais il est clair que le cas DSK intéresse et fait l’objet de quantité de commentaires.
Le cas DSK a fait grimper l’audience des radios et des télévisions, et provoquer une augmentation du tirage des journaux. Car DSK n’est pas un justiciable comme les autres, c’est -ou plutôt c’était- l’un des hommes les plus puissants de la planète. Patron du Fonds Monétaire Internationale revient à gérer les finances du monde. Une place enviable, enviée, qui nécessite forcément des capacités et des qualités irréprochables.
Les histoires de sexe dans les milieux du pouvoir existent depuis la nuit des temps, inutile de se leurrer. La plupart du temps, elles se font, et le cas échéant, se règlent dans l’intimité, ou pour le moins dans la discrétion. Cette fois, patatras, le scandale éclate, il est énorme, et une affaire de relations sexuelles est devenue une affaire mondiale au vu du statut de l’accusé.
Les Français ont découvert le fonctionnement de la justice américaine, et les images montrées ont provoqué stupéfaction, incompréhension, interrogations. Ce qui a choqué surtout, c’est l’image donnée par DSK: pas rasé, défait, débraillé, menotté, résigné. Une image violente, dégradante, et humiliante que tout le monde va garder en mémoire. Une image qui, à mon sens, a définitivement réglé l’avenir politique de Dominique Strauss-Kahn, potentiel futur président de la République avant cette affaire.
En fin de semaine, lors de l’audience pour sa libération sous caution, l’image était déjà «meilleure». L’homme avait retrouvé dignité et sourire, mais le mal était fait. DKS a été libéré mais il est toujours accusé, et les chefs d’inculpation sont nombreux. Et si les faits sont avérés, ils seraient inadmissibles et inexcusables.
Lui dit qu’elle était consentante, elle persiste à dire qu’elle a été violée. DSK a t-il succombé à la tentation de la chair facile, laissant ses pulsions dominer sa raison et son statut social? Le riche et puissant a-t-il abusé de la pauvre femme de ménage immigrée? A l’évidence, Dominique Strauss-Kahn a un problème avec le sexe…
Et si tout cela est prouvé, DSK aura mérité tout ce qui lui est arrivé, et il aura ainsi signé la fin de sa carrière politique et personnelle, lui qui était promis à un destin national. Et si c’est vrai, heureusement qu’il n’a pas été élu président de la République! Quand le cul domine le monde, le monde est forcément sur le cul…
Le cas DSK a fait grimper l’audience des radios et des télévisions, et provoquer une augmentation du tirage des journaux. Car DSK n’est pas un justiciable comme les autres, c’est -ou plutôt c’était- l’un des hommes les plus puissants de la planète. Patron du Fonds Monétaire Internationale revient à gérer les finances du monde. Une place enviable, enviée, qui nécessite forcément des capacités et des qualités irréprochables.
Les histoires de sexe dans les milieux du pouvoir existent depuis la nuit des temps, inutile de se leurrer. La plupart du temps, elles se font, et le cas échéant, se règlent dans l’intimité, ou pour le moins dans la discrétion. Cette fois, patatras, le scandale éclate, il est énorme, et une affaire de relations sexuelles est devenue une affaire mondiale au vu du statut de l’accusé.
Les Français ont découvert le fonctionnement de la justice américaine, et les images montrées ont provoqué stupéfaction, incompréhension, interrogations. Ce qui a choqué surtout, c’est l’image donnée par DSK: pas rasé, défait, débraillé, menotté, résigné. Une image violente, dégradante, et humiliante que tout le monde va garder en mémoire. Une image qui, à mon sens, a définitivement réglé l’avenir politique de Dominique Strauss-Kahn, potentiel futur président de la République avant cette affaire.
En fin de semaine, lors de l’audience pour sa libération sous caution, l’image était déjà «meilleure». L’homme avait retrouvé dignité et sourire, mais le mal était fait. DKS a été libéré mais il est toujours accusé, et les chefs d’inculpation sont nombreux. Et si les faits sont avérés, ils seraient inadmissibles et inexcusables.
Lui dit qu’elle était consentante, elle persiste à dire qu’elle a été violée. DSK a t-il succombé à la tentation de la chair facile, laissant ses pulsions dominer sa raison et son statut social? Le riche et puissant a-t-il abusé de la pauvre femme de ménage immigrée? A l’évidence, Dominique Strauss-Kahn a un problème avec le sexe…
Et si tout cela est prouvé, DSK aura mérité tout ce qui lui est arrivé, et il aura ainsi signé la fin de sa carrière politique et personnelle, lui qui était promis à un destin national. Et si c’est vrai, heureusement qu’il n’a pas été élu président de la République! Quand le cul domine le monde, le monde est forcément sur le cul…