Un esprit vif, de la créativité et des idées à revendre: telle est la belle Meila Assani mais encore beaucoup plus... Croyante, elle le revendique, elle n'a de cesse que d'ouvrir perpétuellement les consciences afin de démontrer que le potentiel humain est étonnant et regorge de créativité. Meila est convaincue: " tant qu’on est vivant on a le choix et la possibilité d’aller de l’avant avec une bonne dose de courage ".
Née à Saint Louis, cette réunionnaise aux racines africaines mais aussi vietnamiennes est aujourd'hui doctorante, mannequin et passionnée par les sports de combats.
Professeure vacataire à l’université de la Réunion cette jeune femme regorge de talents et revendique un caractère bien affirmé. La douce Meila partage sa vision de la vie:" Je suis une personne de nature très optimiste, percevant toujours le potentiel exceptionnel d’une personne, ayant à coeur de partager mon zèle et ma détermination. J’ai un esprit très combatif face aux défis de la vie, et le découragement ne fait pas partie de mon moi."
Née à Saint Louis, cette réunionnaise aux racines africaines mais aussi vietnamiennes est aujourd'hui doctorante, mannequin et passionnée par les sports de combats.
Professeure vacataire à l’université de la Réunion cette jeune femme regorge de talents et revendique un caractère bien affirmé. La douce Meila partage sa vision de la vie:" Je suis une personne de nature très optimiste, percevant toujours le potentiel exceptionnel d’une personne, ayant à coeur de partager mon zèle et ma détermination. J’ai un esprit très combatif face aux défis de la vie, et le découragement ne fait pas partie de mon moi."
" D’après ma conseillère d’orientation au collège, j’étais destinée à devenir soudeuse "
Le récit de son parcours scolaire est édifiant et est une véritable leçon d'espoir. Meila raconte ainsi ce cheminement atypique... On la destinait à être soudeuse, elle est doctorante à l'université de La Réunion comme elle aime à le raconter : " D’après ma conseillère d’orientation au collège, j’étais destinée à devenir soudeuse après le brevet.
Je suis arrivée avec beaucoup d’audace en doctorat de communication après un long parcours assez atypique. En effet, après le brevet, mon avenir scolaire semblait être compromis par un décrochage scolaire. Mais grâce à une mère dévouée et très confiante concernant les capacités de son enfant, j’ai pu continuer et arriver avec beaucoup d’efforts jusqu’au Bac. Après un BTS, je suis revenue sur les bancs de la fac en validation des acquis en licence 3.
J’ai toujours eu pas mal de difficultés scolaires, me contentant d’une moyenne de 10, ou moins, durant la majorité de mon parcours scolaire.Arrivée au master, étant un peu déroutée par le fonctionnement institutionnel de l’université, j'ai décidé de partir en Belgique. Grâce à ce voyage, durant la production de mon mémoire, quelque chose s’est débloqué et j’ai obtenu mon Master".
Elle poursuit : " De retour à la Réunion, j'ai décidé avec audace de pousser les portes très sélectives de l’entrée en laboratoire pour y continuer le sujet de mon mémoire et en faire une thèse. Avec un peu d’insistance mais beaucoup de confiance j'ai attiré l’attention de mes éducateurs sur le travail réalisé en Belgique ".
Le récit de son parcours scolaire est édifiant et est une véritable leçon d'espoir. Meila raconte ainsi ce cheminement atypique... On la destinait à être soudeuse, elle est doctorante à l'université de La Réunion comme elle aime à le raconter : " D’après ma conseillère d’orientation au collège, j’étais destinée à devenir soudeuse après le brevet.
Je suis arrivée avec beaucoup d’audace en doctorat de communication après un long parcours assez atypique. En effet, après le brevet, mon avenir scolaire semblait être compromis par un décrochage scolaire. Mais grâce à une mère dévouée et très confiante concernant les capacités de son enfant, j’ai pu continuer et arriver avec beaucoup d’efforts jusqu’au Bac. Après un BTS, je suis revenue sur les bancs de la fac en validation des acquis en licence 3.
J’ai toujours eu pas mal de difficultés scolaires, me contentant d’une moyenne de 10, ou moins, durant la majorité de mon parcours scolaire.Arrivée au master, étant un peu déroutée par le fonctionnement institutionnel de l’université, j'ai décidé de partir en Belgique. Grâce à ce voyage, durant la production de mon mémoire, quelque chose s’est débloqué et j’ai obtenu mon Master".
Elle poursuit : " De retour à la Réunion, j'ai décidé avec audace de pousser les portes très sélectives de l’entrée en laboratoire pour y continuer le sujet de mon mémoire et en faire une thèse. Avec un peu d’insistance mais beaucoup de confiance j'ai attiré l’attention de mes éducateurs sur le travail réalisé en Belgique ".
Meila tient à conclure: " J’aimerais témoigner et dire que malgré ce que l'on a pu dire d'une personne, seul Dieu connait l’avenir de chacun. Tant que la vie est la, l’espérance l'est davantage. Le fait de sortir et de changer son regard sur son environnement, sur soi ou encore se confronter à de nouveaux regards peut déclencher des talents inespérés et inimaginables.
Aujourd’hui je suis une jeune femme doctorante, enseignante, entrepreneure et sportive alors qu’on disait de moi que je ne réussirais pas à cause de toutes sortes de raison, qui étaient certes réelles mais fausses !
J’aimerais encourager les personnes qui ne trouvent pas de sens à leur vie en leur disant de ne pas écouter ces mauvais murmures et toujours espérer, le meilleure arrive ! "
Aujourd’hui je suis une jeune femme doctorante, enseignante, entrepreneure et sportive alors qu’on disait de moi que je ne réussirais pas à cause de toutes sortes de raison, qui étaient certes réelles mais fausses !
J’aimerais encourager les personnes qui ne trouvent pas de sens à leur vie en leur disant de ne pas écouter ces mauvais murmures et toujours espérer, le meilleure arrive ! "