… d’un monde meilleur, d’un monde où le petit caïd de banlieue, black de surcroît, peut devenir l’indispensable garde-malade d’un aristocrate, forcément riche, et tétraplégique, d’un monde où une jeune femme issue d’une famille modeste épouse un prince, d’un monde où la guerre ferait place à la paix, d’un monde où personne ne frapperait plus personne…
On peut toujours rêver, et fort heureusement le rêve n’est pas encore interdit par les dictateurs en mal de pouvoir et de massacres. La vie serait trop belle si elle ressemblait à ce qui se passe dans «Intouchables». Le cinéma est fait pour faire rêver, l’objectif est atteint, ce film étant «l’antidote idéal à la morosité ambiante».
Laissons les Américains à leurs préjugés, ne voyant dans ce film, qui bat tous les records, que des caricatures et des relents de racisme. Tiens, Olivier Nakache et Eric Toledano, qui ont réalisé «Intouchables» auraient dû mettre un Noir en fauteuil roulant et un Blanc en garde-malade… Dans ce cas aussi, n’en doutons pas, certains auraient encore trouvé à redire.
Nous sommes désespérément dans l’ère des critiques tous azimuths, du pessimisme exacerbé. Il faut dire aussi que l’actualité qui défile ses images dramatiques ne prête pas à la joie. Ce monde est-il entrain de basculer dans une euphorie auto-dévastatrice contre laquelle personne ne pourra plus lutter? Ca en a tout l’air.
En ce début d’année, malgré les problèmes nombreux et divers, restons optimiste et souhaitons-nous des jours meilleurs. Si tout le monde se résigne, à quoi bon continuer? Les solutions existent, c’est une question d’appréciation et de décisions. Espérons que nos gouvernants sauront faire la part des choses afin d’éviter le pire.
Meilleurs vœux de santé (c’est le plus important) à tous, que la paix revienne dans le monde (c’est la formule classique), que les problèmes d’argent ne deviennent pas obsessionnels, que les soucis quotidiens se résolvent, et que la vie gagne! Il y a des solutions à tout si chacun y met du sien. On peut encore rêver…
On peut toujours rêver, et fort heureusement le rêve n’est pas encore interdit par les dictateurs en mal de pouvoir et de massacres. La vie serait trop belle si elle ressemblait à ce qui se passe dans «Intouchables». Le cinéma est fait pour faire rêver, l’objectif est atteint, ce film étant «l’antidote idéal à la morosité ambiante».
Laissons les Américains à leurs préjugés, ne voyant dans ce film, qui bat tous les records, que des caricatures et des relents de racisme. Tiens, Olivier Nakache et Eric Toledano, qui ont réalisé «Intouchables» auraient dû mettre un Noir en fauteuil roulant et un Blanc en garde-malade… Dans ce cas aussi, n’en doutons pas, certains auraient encore trouvé à redire.
Nous sommes désespérément dans l’ère des critiques tous azimuths, du pessimisme exacerbé. Il faut dire aussi que l’actualité qui défile ses images dramatiques ne prête pas à la joie. Ce monde est-il entrain de basculer dans une euphorie auto-dévastatrice contre laquelle personne ne pourra plus lutter? Ca en a tout l’air.
En ce début d’année, malgré les problèmes nombreux et divers, restons optimiste et souhaitons-nous des jours meilleurs. Si tout le monde se résigne, à quoi bon continuer? Les solutions existent, c’est une question d’appréciation et de décisions. Espérons que nos gouvernants sauront faire la part des choses afin d’éviter le pire.
Meilleurs vœux de santé (c’est le plus important) à tous, que la paix revienne dans le monde (c’est la formule classique), que les problèmes d’argent ne deviennent pas obsessionnels, que les soucis quotidiens se résolvent, et que la vie gagne! Il y a des solutions à tout si chacun y met du sien. On peut encore rêver…