Si Pauline habite à La Rivière Saint-Louis, en semaine elle est à Saint-Denis afin de préparer son DU Autisme et assurer son job de surveillante en internat auprès de lycéens militaires. Si elle devait se décrire? " Je suis une fille compliquée qui aime les choses simples ! ". Pauline affirme ainsi pouvoir être très timide parfois avec certaines personnes mais à l'inverse pouvoir être très à l'aise.
Ses deux parents sont réunionnais, mais Pauline Hoarau est née près de Lyon. Le retour dans l'île parentale, une fois encore ne sera pas évident. Pauline témoigne: " Ce n'est qu'en 2011 que ma famille est venue habiter à La Réunion, la transition a été assez difficile. Mais étant venue de nombreuses fois ici pour les vacances et visiter ma famille de l'île, je me sentais déjà chez moi. Puisque dans le fond, c'est chez moi... J'aime profondément cette île".
Ses passions? La lecture certes mais avant tout la danse classique. Pauline évoque cette passion qui remonte à l'enfance : " si je devais ne citer qu'une passion cela serait la danse, mille fois la danse. ! J'ai commencé la danse classique à l'âge de 2 ans et demi. Ma mère m'avait inscrite pour que je puisse me canaliser ayant toujours été très active. Cela n'a pas fonctionné puisqu'aujourd'hui encore je suis une pile électrique. Mais je me suis découvert une passion que je n'ai plus jamais lâchée depuis ,la danse classique, et tout autre style de danse d'ailleurs. J'en ai plusieurs à mon actif bien que la classique soit la plus chère à mon coeur. Cela a toujours pris une grande place dans ma vie."
Ses deux parents sont réunionnais, mais Pauline Hoarau est née près de Lyon. Le retour dans l'île parentale, une fois encore ne sera pas évident. Pauline témoigne: " Ce n'est qu'en 2011 que ma famille est venue habiter à La Réunion, la transition a été assez difficile. Mais étant venue de nombreuses fois ici pour les vacances et visiter ma famille de l'île, je me sentais déjà chez moi. Puisque dans le fond, c'est chez moi... J'aime profondément cette île".
Ses passions? La lecture certes mais avant tout la danse classique. Pauline évoque cette passion qui remonte à l'enfance : " si je devais ne citer qu'une passion cela serait la danse, mille fois la danse. ! J'ai commencé la danse classique à l'âge de 2 ans et demi. Ma mère m'avait inscrite pour que je puisse me canaliser ayant toujours été très active. Cela n'a pas fonctionné puisqu'aujourd'hui encore je suis une pile électrique. Mais je me suis découvert une passion que je n'ai plus jamais lâchée depuis ,la danse classique, et tout autre style de danse d'ailleurs. J'en ai plusieurs à mon actif bien que la classique soit la plus chère à mon coeur. Cela a toujours pris une grande place dans ma vie."
" J'ai des cicatrices, des taches, des blessures et je suis comme ça : c'est moi ! "La photo est un autre centre d'intérêt pour Pauline, tout d'abord en étant derrière l'objectif. Paysages, portraits, elle s'amuse en toute simplicité et avoue : " Je ne suis pas une grande photographe - loin de là - mais j'aime me prendre au jeu. "
Et être modèle? "Quant au fait de poser et d'être prise en photo, j'ai longtemps eu du mal a aimer des photos de moi. Tantôt trop exigeante tantôt intransigeante, il m'était difficile de me trouver jolie sur quelque cliché que ce soit. Pourtant, au fil du temps, j'ai grandi, j'ai mûri et surtout, j'ai appris à m'aimer". Elle poursuit : "Nous n'avons qu'un corps, du début à la fin de notre existence, sans reprise ni échange. Il est de notre devoir d'en prendre soin et de s'aimer tel que nous sommes, sans artifices. C'est comme cela que j'aime les photos : sans artifices, des photos vraies, sans trop de retouches. J'ai des cicatrices, des taches, des blessures et je suis comme ça : c'est moi ! "