La pièce rencontre un vrai succès, forte de l’interprétation bouillonnante de ses trois comédiens réunionnais, Virginie Bernard, David Erudel, et Jean-Laurent Faubourg.
La trame est celle d’Ubu roi: Ubu, vil personnage avide, absent à toute compassion, amitié et honneur, qui par un régicide devient fou de pouvoir.
La mise en scène fait la part belle au public, appelé à incarner une foule, le peuple ou l’armée, tour à tour harangué et manipulé. Cette participation du public voulue par la mise en scène l’est pour mieux l’éclairer de la satyre sociale qu’est Ubu roi. "Il s’agira de dénoncer avec humour la tyrannie qui nous entoure, nous guette."
Le parti-pris est celui de la bouffonnerie, le bouffon étant le pendant sarcastique et critique du clown naïf.
Toute la pièce est portée par les trois comédiens dans un rythme effréné, à la manière parfois d’un criké-craké, ponctué du créole imagé de Jean-Laurent Faubourg.
Ils sont trois sur la scène, mais ont l’énergie d’une troupe, on pense notamment aux spectacles d’Édouard Baer, d’improvisations réussies en clowneries pataphysiques.
La trame est celle d’Ubu roi: Ubu, vil personnage avide, absent à toute compassion, amitié et honneur, qui par un régicide devient fou de pouvoir.
La mise en scène fait la part belle au public, appelé à incarner une foule, le peuple ou l’armée, tour à tour harangué et manipulé. Cette participation du public voulue par la mise en scène l’est pour mieux l’éclairer de la satyre sociale qu’est Ubu roi. "Il s’agira de dénoncer avec humour la tyrannie qui nous entoure, nous guette."
Le parti-pris est celui de la bouffonnerie, le bouffon étant le pendant sarcastique et critique du clown naïf.
Toute la pièce est portée par les trois comédiens dans un rythme effréné, à la manière parfois d’un criké-craké, ponctué du créole imagé de Jean-Laurent Faubourg.
Ils sont trois sur la scène, mais ont l’énergie d’une troupe, on pense notamment aux spectacles d’Édouard Baer, d’improvisations réussies en clowneries pataphysiques.
